Le Volcan

Yami, le dragon noir de Yoru se posa lentement sur une proéminence rocheuse sur la face abrupte du volcan. D’un peu partout, s’échappaient des vapeurs. Yoru pensait trouver Idril ici, au cœur même du feu. Fixant l’épée de l’ange avec la sienne il entreprit de gravir le reste de la montagne brûlante pour atteindre le sommet.
Il n’aurait pas réussi sans Yami, qui l’avait retenu lors de ses chutes dues aux pierres instables. La chaleur ne lui plaisait guère mais il était déterminé à retrouver Idril, dusse-t-il plonger dans le cratère pour cela. Malgré l’étoffe qui la recouvrait, l’arme de l’ange continuait sa litanie réclamant mort et sang. Il chercha Idril mais à l’évidence elle n’était pas là. Il se demandait bien où est-ce qu’elle était partie et surtout pourquoi…Ses nombreuses capacités lui avaient-elles permis de découvrir quelque chose? Ou bien était-ce à cause d’Hoshi, ou encore de lui-même?
-Où a-t-elle pu aller? Yami retournons en bas du volcan, il fait trop chaud ici.
[/i]Yami s’exécuta et toucha de nouveau terre à la base de l’immense montagne dévastatrice.
La chaleur était déjà moins accablante, mais les vapeurs plus dense, si bien qu’elles formaient un léger brouillard. Impossible de voir plus loin que trois ou quatre mètres. Pas question de retourner dans la forêt de Haurfond, si près de son ancien peuple. L’ange de Bunhild s’était refugié dans un lieu où elle serait sûre d’être seule, mais où était-ce? Baisser les bras ? Hors de question![/i]
-Xiyht peah sêsa za tajnyec naduinhan lryxia beanna ta ladda danna, za da zina xia za da nadnuijanyec!
Sa voix froide fut engloutie par la brume. Son idée bien ancrée dans la tête, il reprit ses recherches aux alentours du volcan, il remonterait jusqu’au cratère plus tard. Si seulement il pouvait demander à l’épée sanguinaire, qui hurlait toujours, l’endroit où se trouvait sa maîtresse, s’il savait comment le lui demander, il aurait bien accepté l’aide.

Idril était bien sur le volcan, pour être plus precis, c'est elle qui activer la chaleur torride qui si trouvait. Elle, avait les yeux fermait, et goutait avec plaisir a la chaleur qui allait jusqua son ceur.
Puis, Elle sentit son épée qui arriver, elle hurlait, elle voulait, du sang, et elle la voulait elle, elle se demander si elle ne l'avait pas abondonner.
Elle entendit cette voix, SA voix avec cETTE langue, qu'elle amait tant!!!Elle s'envola, descendi vers Yoru, qu'elle avait reconnu. Ele voyait dans la vapeur brulante. Elle le sentait aussi, sn tYoru, se fut la premiere chose qu'elle lui dit :

"Je preferez quand tu n'avait pas cette ariere odeur de Hoshi!!!"

Elle se jeta dans ses bras et enfuit sa tête dans son cou!

Il ne l’avait pas vu pendant son exploration, mais sa voix le fit sourire : il l’avait retrouvée! Il ne la repoussa pas quand elle se jeta dans ses bras, bien au contraire, elle était la seule à pouvoir se jeter ainsi dans ses bras. Elle, elle avait le droit de tout faire. Malgré la chaleur torride du volcan, la peau de Yoru restait glacée.
-Za d’ye nadnuijáa…Za cyjyec peah xia z’o ynnejanyec.
Il la serra contre lui, si elle partait encore, il la suivrait de nouveau. Puis sa voix froide lui dit :
-Désolée d’avoir cette odeur là, je ne l’ai pourtant pas cherché.
Il posa sa tête contre celle d’Idril, humant son odeur à elle.
-Pourquoi es-tu partie comme ça…Je n’ai pas tout compris. Est-ce parce que je t’ai empêché de t’en prendre à Hoshi? L’interrogea-t-il sans vraiment espérer de réponse.
Maintenant qu’elle était là, tout contre lui, les réponses importaient peu mais au fond de lui, il voulait savoir la raison de ce départ précipité et surtout ce qui l’avait poussé à partir en criant «trop de pression».
Tout en la gardant contre lui, il remit l’épée à la taille de sa maîtresse. Celle-ci réclamait toujours sa ration de sang, qu’elle risquait d’attendre longtemps.

HS : si tu pouvait etre, a chaque fois, la traduction de ton elfique, se serai cool!:p

Idril ne repondit pas tout de suite, les yeux fermait, elle goutait a ce moment. Elle avait les deux chsoe qu'elle aimait le plus : la chaleur torride et Yoru. Elle était heurese.

"je ne suis pas beliqueuse a ce point! Non, je prefere ne pas te le dire, j'aurait peur...de te faire mal..."

Elle lui carressa le dos, doucement, jusqu'à ce qu'elle sente qu'il ce calme, qu'il était bien.
Elle psalmodia quelque mots en angélique, et l'épée, apres un dernier crit de reproche, s'éteignit, et se tue.
Deriere eux, Poursuiveur de flamme les regardait a travers la brume. Juste deriere, il se demandait, ce que faisait idril, en 800 ans, il ne l'avait jamais vu faire une chose s'emblable. il se poser des qestion, cet homme, qui lui donnait des frissons, était il ami ou ennemi? Que faisait-t-il dans les bras de sa maitresse? Pourquoi avaient-ils l'air si heureux tout les deux?

Yoru plongea ses yeux au couleur du sang dans ceux d’Idril.
Lui qui ne c’était jamais soucier d’autre chose que sa petite personne, qui se foutait pas mal que le monde meurt le lendemain ou qui n’éprouvait aucune pitié envers les autres, lui, là en ce moment, alors que l’ange s’était blotti dans ses bras, lui était curieux. Pour la première fois de se vie il avait envie de savoir quelque chose.
-Je pourrais fouiller ton esprit tu sais...mais je ne le ferais pas…
Yami, lui fixait Poursuiveur de flammes qui toisait son ami, et il se demandait bien pourquoi.
Cédant à la curiosité il murmura à l’oreille d’Idril :
-Ne t’inquiète pas pour moi…dis-moi, qu’à tu appris…quel secret as-tu découverts? Sa voix était douce, alors qu’il parlait.
Il savait bien qu’Idril n’était pas du genre à succomber à ce genre de tours, mais peut-être lui dirait-elle enfin ce qu’elle savait. Il était inutile qu’elle garde pour elle, un lourd secret qui ne la concernait en rien.
«Si ce n’est pas elle qui le dit, je finirais bien par l’apprendre, alors autant l’apprendre de la part de quelqu’un que j’apprécie» furent ses pensées. Son esprit barricadé, Idril ne pouvait entendre ces paroles là.

Idril s'échauffa. Elle se retira.

"Tu m'énerve! Essaye mon esprit si tu veut, mais tu brulerai le tien! Je t'est dit que tu ne le serai pas! C'est ainsi! Personne ne m'a jamais fait changer d'avie lorsque j'avais decider quelque chose, encore plus les rare fois ou c'était pour le bien de la personne en question! Laisse moi te rappeller que j'ai 852 ans!!!"

Elle prit ses mains entre les sienne, se raprocha, ses levres s'arreterent a deux centimetre des sienne.

"Croit tu vraiment que je serai tomber dans le panneau aussi facilement?"

Poursuiveur s'était aprocher de Yami, il lui tapota la patte, comme il ne reagissait pas, il en deduisit qu' c'était un ami. Donc, il s'enroula sur lui même et se couch a ses pattes.

-Je savais bien que tu ne céderais pas…mais ça ne coûte rien d’essayer! La curiosité est un vilain defaut.
Et puis finalement, elle lui dirait si elle avait envie de lui dire. Il finirait bien par le savoir un jour, et il avait encore longtemps à vivre.
-De toutes façons, je l’apprendrais bien un jour…de toi ou de quelqu’un d’autre… murmura-t-il de voix à peine audible.
Puis pour clore sa réponse, avec un petit sourire, il embrassa les lèvres d’Idril si proches des siennes.
-Tu es bien plus sage que moi, suh yhka.
Yami regarda Poursuiveur s’installer sur ses pattes, pour toutes réponses, il posa sa tête sur le sol et s’endormit

Idril sourit, non, elle ne le direr pas, elle le savait, il le decouvrirai tout seul, ou jamais, car, qui le lui dirai?

"La curiosité est un beau défaut, mais pas sous cette forme, je dirai même qu'elle peut être une qualité! Sisi!!Sage? Vieilleisse ne rime pas frcement avec sagesse. mais crois moi, tu aurait mal, tu commence a peine a ecouvrir ton coeur, je ne veut pas, que tout sois briser...Ecoute moi! Ghatrna je masi! Bhtre ksr!"

"Traduction : Ecoute ma voix! crois moi!"

Elle aimer sa, être dans ses bras froid; mais, yru, lui , ne devait pas aprecier la chaleur. elel rafermie sa prise sur son torse, deploya ses ailes, et s'envola, ce fut lent, cette fois, lent et beau, ils frolerent les étoile, embrasserent la lune. pour enfin retomber dans le forêt, sur le flanc de Pourpre.

-Vieillesse ne rime peut-être pas forcement avec sagesse, mais tu as une expérience de la vie plus dense que la mienne, tu sais donc forcement plus de choses que moi. Glissa-t-il La curiosité bénéfique ? Mmm je ne crois…pas dans ce cas là du moins…Je connais la personne qui me le dévoilera…
Lentement Idril resserra son étreinte, et déployant ses ailes elle quitta terre pour rejoindre le ciel étoilé.
Cette ballade aérienne, cette fois si il en profita pleinement. En pleine forme, le vent glacial du ciel ne le gênait pas. Jamais il n’avait été aussi près des astres nocturnes, ils étaient si proches et si lointains en même temps. Il rêvait éveillé, et la ballade lui avait paru bien courte lorsqu’Idril toucha de nouveau le sol. Ils se trouvaient maintenant dans la forêt, qui bordait le flan ouest du volcan. On aurait pu qualifiée cette forêt de « forêt aride », il y avait les arbres, mais c’est tout. Le sol était sec, orange, quoi de plus normal sur le flan d’une montagne cracheuse de flammes? Les rares oiseaux était habitué à la chaleur permanente, et le mince filet d’eau qui portait le nom de ruisseau était bien médiocre. Mais ce détail, bien qu’énorme n’avait l’air de dérangé ni l’ange aux ailes d’or ni l’elfe qui étaient là.
Les dragons avaient suivit leurs amis, et restaient éloigné. Le chat blanc trottina allègrement vers le couple, puis après avoir regardé Idril, il sauta sur ses genoux et s’y lova.
Yoru, était allongé par terre, ses doigts enlacé à ceux de l’ange qui le couvait du regard. Cette sensation de malaise qui parcourait Yoru, d’où venait-elle? Il détourna les yeux de ce regard maternel.
« Quel est ce secret? En quoi pourrait-il me briser? Quel rapport avec Hoshi? »L’esprit en ébullition, cherchait le secret que ne voulait pas lui dévoilé Idril.
-Te souviens-tu de ton enfance? Demanda-t-il, brisant le silence qui s’était installé.
L’autre fois, elle lui avait fait détail de sa vie, mais n’avait pas parlé de son enfance…l’avait-elle oublié consciemment?

Idril fridonna en entendant cette question.Elle aurait voulut ne pas repondre a cette question! mais, elle se devait de le faire, elle avait dejà cacher trop de chose.

"Mon enfance? je n'est pas d'enfance! Je te l'aie dejà dit, mon père, c'est Glaceur de coeur, c'est lui qui m'a élever...Bon d'accord, j'ai ue des parent, ils ne sont pas mort, ils sont même toujours vivant, enfin, ma mere, vu que j'ai tuer mon pere... et mon frere... Voilà! Maintenant que je te l'ai dit, fait moi le plaisir de l'oublier, comme je l'ai omi même fait. tu reveille des souvenir douloureux, jene vouali pas le fvaire, j'avait réussi a oublier, et c'était tres bien! Voilà!"

Elle le regarda avec un regard dur, entendait avec impatience, mélée d'inquietude, sa réaction!

Il soutint le regard dur et glacial d’Idril. En plus d’avoir vécu à peu près la même vie, voilà que Yoru découvrait que leur enfance était aussi semblable. Il avait touché à un sujet sensible, et il aurait préféré se taire pour une fois. En l’entendant parler de ce qu’elle avait fais à son père et à son frère, lui revint en mémoire ce que lui-même avait fait.
-Désolé d’avoir réveillé de mauvais souvenir…je te l’ai dit je suis un mauvais curieux!
Puis soudain, pris d’une furieuse envie sortie de nulle part, il se mit à rire, un fou rire assez mal placer vu le sujet.
Le regard glacial de son ami, lui remit les pieds sur terre, mais il riait encore. Reprenant son calme petit à petit, il dit :
- Pardon… C’était plus fort que moi, fallait que ça sorte…Je me moquais pas de toi, rassures-toi, ça je n’oserai pas. Mais, ta vie et la mienne sont trop semblable, j’ai l’impression de faire un rêve tout en étant éveillé.
Tout en se rallongeant sur le sol, il se demanda s’il n’était pas en train de faire un très beau rêve dont il allait émerger, et se retrouver avec pour seule amie, une forêt dense et ténébreuse.

Idril prit le rire de Yoru, pour ainsi dire fulgairement en geulle! [hs : c une expression que je repete souvent au college : vlan! prend sa dans le geule! mais je parle le plus souvent de mwa...]Mais elle ne lui en voulu pas, curieusement, alor que son épée eue été particulierement offusquer, et que Poursuiveur avait méchament fait claquer son bec, elle, ne dit rien, elle se mit a genoux pres de Yoru, t embrassa une nouvelle fois ses levres froide, avec delice, plaisir, et même un petit soupir d'aise...
passant sa main sous son corsage, elle lui carressa le dos d'un geste tendre et amoureux, tendis que sa tête venait se nichait son torse. Elle carresa du bout des doigs tout les trait de sa musculature... Son coeur battait fort, elle le sentait... non, elle n'était pas sure de le sentir, mais...c'était bizarre, au delà des mots.
Amoureux dans la soubre chaleur de la forêt...

Il sursauta, ce qui fit sourire Idril. Il la regarda un instant, mais ne rencontra que des yeux gris d’une grande douceur. Le contact doux et chaud d’Idril sur sa peau de glace, eu pour tout premier effet, la contraction de tout les muscle de Yoru. Devenu une vrai boule de nerfs, il n’osait plus ni bouger et à peine respirer. Pourtant lentement, les caresses chaudes de l’ange le détendirent. Alors qu’il allait dire quelque chose, le baiser de la jeune femme le stoppa net : leurs lèvres s’unirent, leur cœur battant à l’unisson. L’amour naissant que tout deux partageaient en cet instant ni l’elfe ni l’ange ne l’avait ressentit auparavant. Les ailes dorée et brillante d’Idril formaient un mur préservant leur passions des êtres qui fixaient sans comprendre les deux personnes qu’ils avaient toujours côtoyées. Le temps s’était suspendu pour les amoureux. Les mains glacées de Yoru s’étaient glissées lentement sous les légers vêtements d’Idril, caressant la peau douce et chaude de l’ange, dessinant et explorant les contours et les formes de ce corps qu’il serrait contre le sien. Tout en continuant ses lentes et douces caresses sur la peau nue d’Idril, il dénoua à l’aide son autres main les longs cheveux de l’ange qui retombèrent en une cascade de couleurs flamboyantes, donnant à la jeune femme un air moins sévère, cette cascade de flammes encadrait à présent le visage d’Idril. Ses yeux rouges étincelants plongèrent dans ceux de l’ange. Il embrassa la jeune femme sur la joue, et lentement il remonta jusqu’à l’oreille, puis suivant les courbes du visage il redescendit lentement dans le cou, laissant à chaque petit baiser la froideur de ses lèvres sur la peur d’Idril.
Aucun mots ne franchirent leur lèvres durant cet instant, tout deux laissèrent parler leur corps, jusqu’à ne faire plus qu’un. Cet instant magique, resterait gravé tout au fond de leur être, la trace indélébile d’un sentiment qu’il ne pensait jamais rencontrer un jour dans leur vie d’exclu.
Yoru, tout en serrant le corps chaud presque brulant de l’ange, avait trouvé en cette jeune femme la personne qui lui avait donné envie de poursuivre sa vie, cette jeune qui lui avais fais découvrir le « vrai bonheur » d’une vie.
"Za d’yesa Etnem, ad za d’yesanyec duizuinc suh Yhka"

HS : trad : « Je t’aime Idril, et je t’aimerais toujours »

Elle avait gouter avec plaisir ses mains froides sur sa peau nu. Elle s'était réchauffer, non, surchaufer, comme si Yoru ne pouvait faire autrement que delui faire découvrir d'intense sentiment, sentation, émotion, longtemps enfuie dans son coeur.
Jamais, elle n'aurai crut qu'un quelquonque homme, elfe, ange, ou autre, n'aurait pus être aimer d'elle, et la tuocher comme il le faisait. Les yeux fermait elle ne controlait dejà plus ses gestes.
Elle n'avait presque plus conscience de se qu'elle faisait, de ce qui se passer, juste des vague d'intense bien être, de plaisir toujours plus fort, jusqu'à l'extreme, jusqu'à de que le plaisir soit tellement grand qu'il en fasse presque mal, ce fut là, que sa s'arreta. Elle ne controla pas les brusque mouvement de ses ailes a l'instant propice, mais elle se que cela n'avait pas d'importance.
Plus brulante que jamais, elle transpirer abondement, enfin, elle se laissa aller sur l'elfe qui emporter sa fleur avec lui.La respiration aletante, elle lui dit merçi, dans sa langue d'origine, sa pouvait avoir l'air bête, elle savait que sa ne l'était pas, et que sa ne serai pas perçu comme tel. Elle aimer, au delà des mots, des penser et des actes, ou du mons, c'est ce qui lui semblait...
Il lui sembalit impossible que cet elfes, ellene lui est déclarer sa flamme que le jour precedant, elle avait l'impression de le conaitre depuis ongtemps, maintenant dans les moindres détail.
Idril, qui n'avait jamais eue de quelquonque fantasme, ne rêver plus que d'une cose, que tout recommence encore une fois, qu'elle sois intensement heurese encore, mais, elle était sur que cela arriverai, pas tout de suite, surement, mais cela reviendrait. C'était la plremiere fois qu'ell faisait une promesse d'amour, elle habituer aux promesse de mort...

L’empêchant de dire un mot de plus que son « merci » en angélique, il passa son doigt froid sur les lèvres de l’ange, aussi brûlantes que le reste de son corps. Son regard parlait pour lui, pour la première fois, il était animé par un sentiment chaud, autre que l’envie de tuer et de s’abreuver du sang des autres. Pourtant, bien que comblé de bonheur, au fond de lui, une petite voix sèche lui criait que l’amour et les sentiments heureux n’étaient pas pour un être comme lui, que les femmes étaient toutes les mêmes, et quand bien même celle-ci lui ressemblait beaucoup, elle était comme les autres, aussi fourbe et mesquine. Fermant les yeux, il posa doucement sa tête sur la poitrine d’Idril, écoutant distraitement son cœur battre à tout rompre.
D’un ordre mental, mettant en œuvre ses pouvoir psychique, il rhabillât la jeune et lui-même, tout en la gardant serrer contre son corps, qui comme une pierre, restait glacée.
Yami, lui s’était éclipsé pour aller chasser quelque animal, dans un but simple : se remplir l’estomac.

Idril fronca ls sourcil et le regarda.

" Mon sixieme sens me dit que tu doute de moi! Je ne sais comment ni pourquoi...Mais je ne pensai pas sa de toi? Serais ce quelqu'un qui t'a dit pareil chose?"

Elle refit sa queue de cheval, elle destester avoir les cheveuix en bataille, c'et vrai, et si un monstre venait d'un seule coups, là, elle serai gener par sa touche flamboyante!
Elle ne voualit ce resigner a quitter le corp froid de Yoru, pourtant, elle savait qu'elle le devrait bien a un moment, c'était obliger.Idril est une solitaire, elle tiens a sa liberter, c'et peu être aussi pour sa qu'elle a toujours fui les hommes, parce qu'elle voulait vraimetn preserver cette liberté, qui n'apartiens qu'à elle.
Mais, Elle été sure que Yoru ne lui predrait pas, pour la premierre fois de sa vie, elle avait vraiment confiance en quelqu'un.
Un bien grand mot confiance, et ben petit en même temps. Un mots rechercher par tant de monde, et rejeter par d'autre. Idril n'aurait jamais cur le penser un jour vis a vis de qeulqu'un d'autre qu'elle même et ses animaux. Comme quio tout arrive!

Il la lâcha. Lentement il se releva, et une fois sur ses jambes lui tourna le dos.
-Je n’aime pas ton sixième sens… dit-il, d’une voix un peu trop glaciale
Il fit quelque pas pour s’éloigner d’elle, et se retourna pour lui faire face. Son regard rouge sang plus brillant que jamais. Le mur de glace qui emprisonnait son esprit, même les capacités de l’ange ne pouvaient passer au travers. Au fond de lui, la petite voix continuait de lui dire diverses choses.
-Le doute? Qu’est-ce que le doute? C’est se sentiment qui t’empêche d’avoir confiance en d’autre personne?
Puis dans un soupir glacial, il ajouta :
-Je vais faire un tour…
De nouveau il lui tourna le dos, mais cette fois il s’enfonça dans les bois, laissant derrière lui, une Idril surprise par l’attitude glaciale de l’elfe qui la tenait dans ses bras quelques minutes auparavant.
Ni Yami ni Hikari ne bougèrent pour lui emboiter le pas, pas même les regards lourds de sens des amis de la jeune ne les firent bouger. Ce Yoru là, valait mieux qu’ils soient seul, ils le savaient, eux.

Idril d'abord surprise, laissa vite sa propre personnalité reprendre le deçue. Elle gromella quelque parole inodible, et degaina on épée. les autres frmir, mais elle se contenta de la lustrer soigneusement. Ce mong travail lui prit une demie heure.
Voyant que Yoru ne venait toujours pas. Elle se leva tranquillement, huila son foureau; Puis, fit rentrer et sortir son épée plusieur fois, avant de finalement l'y laisser.
Elle se retourna, carressa le dos veloupter de chats, s'aprocha dudragon et lui cglissa a l'oreille.

"Je refuse de me laiser dominer, j'aime me liberté. Je ne veut pas être la victime d'un mauvais caractere, même si je n'est rien a dire avec le mien. Je m'en vais. Nous nous reverons, je ne sais quand, mais nous nous reverons. Voilà, je vais ou le vent m'enportera, probablement...là ou je suis sure que l'on ne viendra pas me chercher."

Elle carressa doucement Poursuiveur de Flammes, avant de l'enfourcher. L'animal se ramassa et d'une puissante détente, il s'élanca dans les cieux. Idril sur son dos, vers l'horizon...

Luna et ses deux compagnons se trouve a côté du volcan. A chaque petit bruit il sursautèrent,mais ils essayérent de trouver un petit coin pour y manger et dormir. Ils trouvérent un petit coin trés agréable. Luna construisat une petite cabane pour la nuit. Quand la faim leur vint comme ils n'avaient pas de nourriture sous la main ils fallut qu'ils aillent en chercher, ils en ramenérent aussi pour le lendemain matin. Enfin ils s'assirent et Luna cria:
-DU SANG J'AI FAIM
Son aigle poussa des cris stridents, son petit chat des miaulements. Ils dègustérent sans parler, quand ils finirent leur repas tous trois s'endormir. Le ledemain matin ils se levérent et mangérent ensuite ils marchérent un peu partout.
"Même si je suis un vampire j'aimerais bien me trouver une amie ou un ami ici dans ce volcan.", pensa la jeune vampire
Puis un grand bruit surgit il sursautérent.

Natahnaël était là, comme il errait d'un endroit à l'autre de ce monde, il avait fini par se retrouver lui aussi sur le volcan. Cette douce chaleur n'était-elle pas agréable? Pour Natahnaël qui n'avait pas grand chose de plus à faire, c'était un endroit parfait.
Pourtant qu'elle chose vint deranger son calme, quelque chose ou plutot quelqu'un vint le deranger. Ils étaient trois les nouveaux arrivants, oui un être ayant apparence humaine mais n'était pas plus humain que les deux animaus qui l'accompagnait...son aura, cette aura sombre et chargé de sang, l'aura d'un vampire. Donc cette jeune femme, n'était autre qu'un vampire. Et apparement elle avait faim. Sans doute avait-elle été attiré ici par l'odeur du sang de l'animal que Nath avait tué pour se nourrir, car il faut le dire, à l'auberge il n'avait vraiment eu le temps de se remplir l'estomac.
-Tu as faim? Ce n'est pas encriant comme ça que les gens vont t'inviter tu sais?
Son regard noir, et sans expression la fixait, elle la fille aux cheveux d'argent qui venait de s'ecrier qu'elle avait faim sans savoir si ou ou non il y avait quelqu'un là où elle était. Natahnaël était assi par terre et sur son visage il y avait un petit sourire. Comment allait réagir la vampire en le voyant là, alors qu'elle pensait être seule? L'humain qu'il était allait bientôt le savoir.

Luna vit cet homme assit, elle sursauta et était étonnée. Comme ses deux compagnons. Luna le regarda longtemps et ne pu s'empecher de penser à boire du sang, elle avait attendu trop longtemps, donc elle ne pu s'empecher de crier :
-DU SANG!!!!
Elle baissa les yeux quelques instants puis les releva, vit le petit sourire du garçon sur son beau visage. Son aigle poussa des cris et elle s'avait que quand il poussait des cris comme ça sa voulait dire qu'il n'aimait pas quelqu'un et elle se doutait de qui ça pouvait être. Luna laissa son aigle un peu de côté sans l'oublier lui et son chat, et elle aussi lui lança un petit sourire.
" Je ne suis pas toute seule sur ce volcan mais ce garçon a l'air étrange car mon aigle pousse ses cris et mon chat ne bouge pas d'un poil il faut que je me méfie de lui" pensa Luna.
Elle et ses deux compagnons se raprochérent un tout petit peu du garçon.

Elle n'ecoutait donc rien de ce que les gens lui disait? Apparement, et vu la façon dont elle se remettais à crier le nom de ce qui devait être son plat favoris, Natahnaël sourire encore plus.
-On croirais entendre une folle...a moins que ta soif ne te t'empeche de reflechir, vampire!
En vivant dans ce monde aussi longtemps il avait rencontré toutes sortes de races, toutes différentes les unes par rapports aux autres, et toujours il avait vu les vampire comme elle se nourrir du sang humain, mais elle avait une aura différente de celle de ces vampires là, sans qu'il ne comprenne pourquoi.
Puis l'aigle de la vampire se mit à crier, de ses cri stridents propres aux aigles, comme un signe d'avertissement. Le chat lui restait en retrait, fixant Nath avec son regard felin. Apparement, ils se mefiaent tous autant qu'ils étaient, et c'était une bonne chose pour eux, Nath n'était pas de ceux qu'il était recommandé de cotoyer.
En la voyant s'approcher, lui même se fit mefiant, sans portant laisser paraitre le moindre de ses sentiment.
-Quel est ton nom, vampire?
Sa voix ne donnait pas l'impression qu'il aimait parler à la vampire, pourtant il n'avait rien contre elle, ni contre personne d'ailleurs.

Luna étant énerver lui dit:
- J'écoute les gens en qui j'ai confience et toi je ne sais pas encore!!
Luna était furieuse mais au font elle était contente Luna répondit calment :
- Je m'appelle Luna Tsukimi et toi je peut savoir comment tu t'appelle humain????
Luna ne dit rien un instant et repris
- Je suis trés gentil il ne faut pas avoir peur de moi
Mais malgré sa gentillesse envers le garçon Luna se méfier toujours un peu de lui et apparament son aigle n'était toujours pas convincue d'avoir confience en lui, son chat était beaucoup plus rasurer. Luna ne pu s'empecher de dire:
- Esque je peut gouter ton sang!!
Luna s'en morder déjà les lévres

Nath soupira, puis il la regarda avc un air agacé. Elle n'avait pas besoin de crier pour lui faire comprendre ça. Enfin, parfois il était dur d'oreille mais il le faisait exprès en fait, il n'entendais que ce qui l'arrangeait alors bon. En faisant mine de bailler il ne la lachais pas du regard.
-Et qu'est-ce que ce ça peut me faire que tu ne me fasse pas confiance hein? Moi je te donne simplement un conseil idiote...
Il passa une main dans ses courts cheveux noirs, qu'il ne devrait pas tarder à couper car il poussait relativement vite.
-Si tu ne me faisais pas confiance, tu ne m'aurais pas donner ton nom. Qui te dit que je ne suis pas un vilain sorcier bien deguiser qui va te jeter un mauvais sort?
Sorcier il l'était. Mauvais, cela depndais du sens que l'on donnait à ce mot, et pour lui jeter un sort, il faudrait deja qu'il en est envie, flemmard comme il l'était.
-Moi c'est Natahnaël Mor'wan.
Sa demenda le laissa interdit un instant, puis il se mit rire, a rire si fort que l'on aurait pu les entendre s'il y avait eu quelqu'un d'autre ici.
-Tes phrases ne vont pas ensemble! N'ai pas peur, je vais boire ton sang! Tu te rend compte de ce que tu dit gamine!
Son regard s'assombrit. Il n'avait pas du tout envie de se faire perforer la gorge par une gamine de deux cents ans juste parce que celle-ci était completement folle!
-Essaye donc, mais je suis pas que tu apprecie ce qui risque de t'arriver si tu es assez courageuse pour le faire.
Son sourire était de retour, mais un sourire qui faisait froid dans le dos.

Luna triste de ne pas pouvoir gouter le sang du garçon alla dans un coin et bouda. Puis quelque instant plus tard elle se leva en étant mort de rire et dit:
-Evidemment que tu ne veut pas tu ne veut pas qu'aprés je te demande sans arret je peus manger.
Mais Luna avait maintenant un peu confience en lui mis il lui parraissaît trés dur. Son chat était du même avis qu'elle mais l'aigle n'était toujours pas convinque. Mais Luna penser:
"Est-ce-que je doit lui parler comme si il étai mon amie ou comme si il était mon enemis"c'est la question qu'elle se posait.
Puis soudain Luna se jeta au coup de Natahnaël non pas pour boire son sang mais juste pour sentir l'odeur du sang frais.Elle recula est dit
-Excuse moi je ne pouvait m'en empecher
Luna a cause de cet odeur eut trés faim comme c'est animaux et demanda a Natahnaël
- Est-ce-que tu veut venir avec nous chercher de la nourriture
Luna avait trés envie que sa réponse soit oui

» sur le flan du volcan