Leur arrivée...

Tahaney ressentit un extrême soulagement en appercevant la mer qui se dressait devant elle. Elle était enfin arrivée! L'elfe ne pouvait plus supporter sa douleur aux cuisses. Elle n'avait jamais chevauché, il était donc normal qu,elle ne soit pas habituée à le faire longtemps. Sans compter qu'elle devait à tout prix se changer les idées. C'était la dexiàme fois depuis... une semaine? Deux semaines? Qu'elle se disputait avec Lekory. Sur le coup, elle restait persuadée que ses motifs étaient bons et que c'était le dragon qui agissait irresponsablement. Sauf qu'une fois seule, l'enfant de Brünhild se mettait à douter et à se demander si ce n'était pas de sa faute à elle si sa relation avec Lekory se brouillait ainsi.

Devant elle, Idril s'arrêta finalement. Soulagée de pouvoir en faire autant, Tahaney se laissa glisser de sa monture. Aska henit et secoua sa crinière. L'elfe vit là un signe de fatigue, mais elle connaissait si mal les pégases.

Tahaney laissa là Aska et rejoignit son mentor, gardant le silence. Elle observa longuement la Mer Blanche. Après avoir tant lu et entendu de merveilles à ce sujet, voilà que la fameuse mer se dressait devant elle, limpide. L'elfe se demanda soudain si elle devait éprouver du dédain ou de la haine pour l'eau, vu que celle-ci faisait obstacle à la puissance du feu. Cependant, même si elle essayait le plus possible, elle était incapable de mépriser cet élément si puissant et si calme. Selon elle, chaque élément avait sa place, et il était idiot d'en détester un. Sans l'eau, que seraient devenus humains, elfes, fées et, surtout, sirènes, sans compter les autres races? Ils seraient morts de soif. Sans le feu, ils mourraient de froid. Sans l'air, ils seraient incapables de respirer. Sans la terre et les plantes, ils n'auraient pas de nourriture, sans les animaux, ils seraient bien seuls, sans les émotions négatives ou positives, ils seraient des monstres inhumains.

Tahaney sentit à nouveau son amour pour la Terre Sacrée grandir. Un sourire illumina son visage, et elle attendit patiement qu'Idril parle.

Idril les avaient fait chauvoché à fond de train, elle savait que sa serai éprouvant, tant pour Tahaney qui n'avait jamais monter, que pour Aska, encore une pouliche.Une fois arriver, elle arretta Coeur de celerité dans un long dérapage, qui laissa une empreinte roussie sur le sable.Elle regarda la mer.

Pour comprendre le feu, il faut comprendre un maximum toute la difference qu'il peut y avoir entre ellee t son contraire : l'eau.Pour cela, l'entrainement sera simple...

Elle descendit de cheval, et s'avanca dans l'eau, jusqu'à s'immergé presque totallement.Idril avait un coprs extremement chaud, dut à de nombreuse année d'experience dans ce domaine, et une vapeur surchauffante la poursuivait dans l'eau.Mais idril ne semblait pas souffrir de sa, elle fermer les yeux et rester dans l'eau.Pourtant, l'eau attaquer son organisme.Elle ouvrit les yeux, et d'un regard, encouragea Tahaney à la rejoindre.
Elle ne dirait pas à Tahaney lorsqu'elle pourrait sortir, ce serai à Tahaney de connaitre ces limites, de savoir quand elle ne pouvait plus, ou elle s'évanouirai dans l'eau.Idril voulait que Tahaney ressente bien la puissance du feu, et celle de l'eau.

Tahaney observa Idril s'immerger d'eau. L'elfe devait l'avouer: elle ne comprenait pas du tout pourquoi son mentor tenait à lui imposer un tel exercice. Cependant, elle ne protesta pas et descendit dans l'eau à son tour, prenant une grande respiration avant de plonger, l'angoisse et la peur de Lekory lui pinçant légèrement le coeur.
Une fois totalement sous l'eau, l'enfant de Brünhild ressentit de légers picottements sur sa peau. Pas grand chose. Mais elle ne comprenait pas: jeune, elle se baignait souvent et jamais elle n'avait goûté à pareille sensation.
Tahaney s'était longuement entraîné à retenir son souffle. Pouvoir rester le plus longtemps possible dans l'eau était en quelque sorte son but lorsqu'elle était enfant. Heureusement, sinon elle serait déjà remontée.
Les piccotements devinrent de petites aiguilles s'enfonçant dans sa peau. Elle commençait à avoir mal. Mais pour rien au monde elle n'aurait quitté cet élément. Car elle comprenait soudainement. l'élément s'ouvrait à elle, fort de sa puissance, de son calme. L'eau avait fait de nombreuses victimes. Elle les regrettait et les pleurait chaque jour. Sauf ceux qui tuaient les animaux marins. Pour ceux-là, même pas une pensée. C'était inutile. Cependant, si certains gens voyaient l'eau comme un élément destructeur, ils oubliaient déjà les nombreuses fois où ils s'étaient lavés et abreuvés dans des lacs. C'étaient des gens fermés qui refusaient de voir la vérité.
Tahaney fut saisie d'un brusque sentiment de panique.
L'eau détestait le feu.
Les aiguilles devinrent des fouets cruels qui claquaient sur sa peau légèrement halée. Elle étouffa un gémissement de douleur. Elle plongeait de plus en plus profondément dans l'élément. La connaissance dont elle avait toujours rêvé était à sa portée. Plutôt mourir que de la quitter.
Combien de temps resta-t-elle là? Impossible de dire. À un certain moment, elle réalisa qu'elle avait pâlit. Ah bon. Tant pis. Elle voulait à tout prix comprendre l'eau à cent pour cent, pouvoir expliquer dans les moindres détails dans son pouvoir.
Le souffle lui manquait. Elle devait remonter. Pourquoi? Si elle rompait le contact, elle perdrait tout. Elle ressortirait totalement mûrie, ou pas du tout. Le choix était facile. Quelque part en elle, un rugissement de dragon la suppliait de revenir. À la surface. Pourquoi?
Tahaney ouvrit la bouche. Le peu d'air qui lui restait s'échappa. Même lui cherchait la surface. Ses yeux se fermèrent lentement. Marrons... Y avait-il du marron dans l'eau? Non. L'élément était transparent, bien sûr.
Soudain, elle voulut remonter. Mais elle ne bougeait pas! Elle ne pouvait même pas parcourir les quelques centimètres qui la séparaient de l'air, des couleurs, de Lekory, d'Aska, d'Idril! Elle perdit conscience. Et oublia tout sur l'eau. Sauf ceci: elle était mille fois plus puissante et terrifiante que l'elfe ne l'aurait crut.

Idril regarder Tahaney, elle ne l'appella pas, elle n'était plus elle même, comme en transse.Elle se croyait forte, elle s'enfoncer dans l'eau.Mais bientôt, idril vit les derniere bulles aparaitre à la surface.Avec un soupir, elle plongea à la suite de Tahaney, et l'extirpa de l'eau...Elle prit la jeune fille dans ces bras et nagea puissement jusqu'au bord, et sorti sur le sable, que le soleil rendait brulant...Elle allongea Tahaney sur le sable, et la reveilla, en la brulant rpesque avec son feu.

Tahaney...Tu n'as pas comprit donc...l'eau et le feu sont deux puissance parrallele, complementaire, et distincte.Que serai l'eau sans le soleil?tu n'as pas compris sa...Tu n'as vut que l'eau, tu n'as eue d'yeux que pour l'eau, tu n'as pas paniquer assez tôt.Lorsque tu as chercher à tout prix à dompter le secret de la mer, celle-ci c'est rebeller.Tu as abandonner ton feu, pour l'eau...Ce n'est pas du tout ce qu'il faut...Regarde encore une fois.

Elle ce plongea dans l'eau, et une fois de plus, une vapeur densse et puissante, brûlante, s'échappa de l'endroit ou elle ce trouver.

Alors?Comprens-tu ton erreur?

( Désolée d'avoir été si longue à répondre, mais chez nous, on a eu un problème de chauffage, et il était plus conseillé pour la santé de rester en haut, là où il y avait l'air climatisé, qu'en bas, où il y avait l'ordi! Je suis d'ailleurs surprise que l'ordi n'ait pas pété une coche... )

Tahaney reprit connaissance quand elle sentit une douleur cuisante sur sa peau. Mais la première sensation qu'elle ressentit fut le soulagement. Elle était donc de retour à la surface! Elle ouvrit les yeux, et son regard rencontra celui, impitoyable, d'Idril. Son mentor lui expliqua son erreur, et l'elfe se maudit d'avoir ainsi gâché son premier contact avec l'eau.

" Voilà. Tu comprends, maintenant? L'eau comme le feu, l'air comme la terre, ils ont tous leurs secrets. L'érudie que tu désires devenir n'a aucun respect pour la nature. Elle se fiche de violer les secrets les plus profonds, ceux qu'on préfère généralement garder pour nous. C'est de même pour les dragons, tu sauras. Je suis ton ami, pas ton serviteur. Je te fais le privilège de connaître des choses que très peu de gens savent sur les dragons. C'est déjà tant! Mais tu veux toujours plus. Jamais satisfaite, l'érudie! Je te conseille vivement de changer, même si ce n'est pas facile, car sinon tu passeras à côté des connaissances dont tu as toujours rêvé. D'accord? "

Tahaney ne se donna même pas la peine de répondre. Lekory connaissait sa réponse. L'enfant de Brünhild se releva, tremblante, et soupira longuement en contemplant la mer. Elle adressa à l'élément des excuses sincères, accompagnées d'une promesse de la respecter. Par la suite, elle alluma doucement ses mains de feu qu'elle observa aussi. Et elle s'en voulut. Idril avait parfaitement raison: l'elfe avait abandonné les flammes, avait abandonné une partie d'elle-même. Sauf qu'elle comptait bien se racheter.
Tahaney s'avança à nouveau, s'émergeant une fois de plus dans l'eau. Elle prit une grande bouffée d'air avant de plonger à nouveau dans la Mer Blanche.
Comme si elle avait compris le nouvel était d'esprit de l'elfe, l'eau, cette fois, ne fit que lui picoter la peau. Tu es le feu, mais tu respectes l'eau, semblait-elle dire. Des poissons sortirent timidement des algues, leurs yeux si ronds et curieux la regardant avec une certaine crainte, comme si elle était un animal enfermé dans une cage. Un animal dangeureux, mais puissant, vénérable. Ravie, l'enfant de Brünhild sourit, mais demeura en retrait, se délectant de ce que la mer acceptait de lui révéler. Elle sentait l'approuvement de Lekory, resté à la surface, et se sentit soudainement si fière. Oui, c'était bien ainsi qu'elle voulait acquir la sagesse.
Bientôt, le souffle lui manqua. Aussitôt, Tahaney adressa des adieux silencieux avant de sortir de l'eau, tout sourire. Et même si Idril lui dirait qu'elle avait échoué l'exercice, l'elfe resterait fière d'elle-même, sentant qu'elle venait d'accomplir le début d'un grand pas.

Idril sourit, elle été revenue sur la berge elle même.

Tu voit!Ce n'était pas compliquer!Il n'y avait que sa à comprendre!ton élément est le feu, tu peut tout connaitre de lui, mais les autres éléments, non.Tu peut aprendre des choses d'eux, mais pas tout...Et tu t'en est bien sorti.Cependant, tu est épuiser...

elle avait dit sa, comme pour que Tahaney elle même en prenne conscience...

Si tu fait des autres éléments tes amis, tu sera en mesure de tout comprendre, et tout juger avec bien plus de sagesse que ce que tu à put faire jusqu'à present.Et c'est seulement là que tu pourra aquerir la puissance...Il en est de même pour ce qui est des opinions que tu as.Tout va changez dans ta vie à partir de maintenant, et tu te posera beaucoups de Question.Même tes avis sur des choses les plus basique vont changeait.

Elle lui disais sa come si c'était un evenement banale, mais on voyait sur l'expretion de son visage que c'éatit une chose très importante.

Je te le dit, je t'est prevenu...

Puis, elle s'aprocha de son cheval, et passa un main mouiller dans son pelage.Le cheval frissonna mais n'opposa pas de resistance.

A ce moment, tu pourra obtenir une confiance complete de ton cheval, et de ton dragon.Car il te respecteront.Car ils seront que les hoix que tu fait, ainsi que tout tes actes, sont forcement de bonnes choses...

Tahaney écouta Idril avec attention, intéressée et curieuse. Elle trouvait étrange que l'ange dorée puisse prévoir à ce point ce qui arriverait, mais l'idée ne lui vint pas de la contredire. Elle l'écoutait, tout simplement, avec cette fascination qui faisait d'elle la fille d'Akory DeFlammia.

Une fois que son mentor eut terminé de parler, un grand sourire illumina son visage. Elle se sentait extrêmement fière de ce qu'elle avait accompli et de la leçon qu'elle en avait tiré.

- C'est bien vrai! Je suis ex-té-nu-ée!

Elle éclata d'un rire franc, puis demanda à Idril ce qu'elle comptait faire maintenant. Se reposer, ou offrir à l'elfe une nouvelle épreuve qui l'obligerait à se dépasser une fois de plus?

De loin, Lekory observait son amie avec beaucoup de tendresse. Tahaney avait beaucoup changé depuis qu'ils avaient quitté leur maison. Et, si, au début, il avait eu du mal à s'y habituer, il appréciait maintenant sa nouvelle amie, celle qui faisait de son mieux pour tout prendre du côté positif, et celle qui respecterait dorénavant pleinement la vie qui l'entourait. Soudainement, les yeux du dragon s'assombrirent. Cette quiétude pouvait-elle vraiment durer?

Idril se tourna vers Tahaney, un regard presque maternelle dans le regard, une douceur qu'on ne lui connaissait pas, qui suspendait le temps.

Tahaney...Quoiqu'il arrive...rappel toi que jamais, jamais, il ne faut rejeter ces amis.Je pensse à Lakory, bien sur, et à d'autre...Ecoute toujours ce qu'ils ont à te dire, dit toi que Lakory, bien que jeune, et sans experience, grace à Glaceur de Coeur va atteindre une sagesse de plus en plus grande, comme tout les dragon, et bien que dominante, rapel toi toujours que de vous deux, il est le plus fort.Quand à ton pégase...respecte le, ou il partira pour toujours...

Puis, en quelque mouvement, elle dressa sa tente, et celle de Tahaney, et fit signe à cette derniere d'aller ce coucher.
Elle s'aprocha de Lakory, et posa une main sur son front.L'animal tresaillit, puis ferma les yeux.

Tahaney change, c'est vrai, tu l'as sentie, mais toi aussi tu changera, pour avancer il faut changer, gagner et force et en sagesse.Je vais aprendre beaucoup de chose à Tahaney.A tuer, c'est vrai, entre autre, mais une fois que sa sera finit, vous ferait vos choix enssemblle.Si tu ne veut pas tuer, si tu ne veut pas qu'elle ce serve de son épée, tu peut lui dire...Ne perdait jamais votre dialogue et ne la laisse jamais ce fermer à toi!

Puis elle fit une signe discret à Glaceur de coeur, qui s'envola, Lakory à sa suite.Ils volerent vers les montagnes.Qu'alait-ils y faire, Idril elle-même n'en savait rien, la seule certitude c'est que Lakory en reviendrait changer, en reviendrait grandi...

Obéissante, Tahaney dans sa tente dès qu'Idril l'eu exigé. Elle désirait méditer sur les paroles de son mentor, qui l'avaient déroûtée. Un bon moment elle resta immobile, incapable de décider si elle devait accepter ce conseil, le rejeter ou simplement s'en souvenir. Après un moment, elle se lassa et haussa des épaules. À quoi bon? Elle avait réussi l'épreuve de la journée, c'était tout ce qui comptait.
Elle eu un petit sourire.

Épreuve de la journée? On aurait dit un de ces défis idiots que se lançaient hommes et femmes ivres dans ces tavernes cloîtrées au milieu de nulle part! L'elfe réalisa que son vocabulaire dégradait, trop négligé durant ces dernières semaines. Elle s'empara d'un gros livre à l'allure ancienne, et s'installa pour le lire. Ce traité ancien lui rapprenait toujours les bonnes manières...

Bientôt Lekory quitta le campement avec Glaceur de Coeur, l'enfant de Brünhild en fut parfaitement consciente. Elle leva la tête, observant le plafond beige de la tente.

- Bonne chance...

Elle aurait juré qu'il l'avait entendu, même si elle n'avait pas utilisé la télépathie.

Tahaney replongea dans son histoire. Ce bouquin, cela faisait presque un an qu'elle ne l'avait pas touché. Elle le relisait, cette fois avec un esprit mûrit. Et si elle voyait le récit d'un nouvel oeil? Elle pourrait très certainement en faire part à Lekory!

"Le feu est entré dans l'eau"
La voix du petit dragon-serpent parvint jusqu'aux oreilles de la sirènes qui batifolait avec Umi le dauphin. Tsukiko s'arreta un instant avant de sourire à Uizu.
-De quoi est-ce que tu parles? C'est absurde, le feu c'était lorsqu'il entre dans l'eau et tu le sais!
"Oui mais ce feu la ne s'eteint pas, en voila un second!"
Intrigué la jeune sirène demanda à son ami où est-ce que ce feu était, puis tous trois s'y rendirent, tout aussi curieux les uns que les autres. Tsukiko put donc voir, après être sortit de l'eau à une distance qui lui permettait de pas être vu, la plage avec deux femmes semblant appartenir à Brunhild si elle en jugeait par leur aura. Elle en fut ceraine lorsque l'ange entra et qu'elle fut entourer d'un nuage de vapeur. Le feu était entré dans l'eau. Mais pour qu'elle raison faisait-elle une chose pareille? La fille qui la suivit semblait avoir un peu plus mal au premier coup, puis par la suite elle semblait avoir reussi ce qui semblait être une acceptation de la puissance aquatique. Encore lus intriguée Tsukiko plongea dans l'eau et s'approcha du rivage, de nouveau derrière un rocher elle les observaent en cachette. Ele semblait connaitre l'ange mais n'en était pas sure, donc elle resta en retrait. Cette aura de guerrière semblait lui être familère, et à Uizu aussi. Le septit dragon rampa sur le sable et se faufilla dans la tente où la deuxième fille était entrer. Il la regarda longuement, tout en s'approchant petit à petit. plongée dans son livre, elle ne semblait pas le voir, tant mieux ou tant pis, il n'en savait rien, mais elle ne semblait pas mechante.
Tsukiko elle, observait Idril parler au dragon comme elle parlait à Uizu, et enfin elle se souvint qu'elle l'avait à la bibliothèque alors qu'elle avait rencontrer Namariel, et puis par la suite dans une clairière alors qu'il y avait cet homme appelé Calintz. Elle poussa une exclamation, mais trop tard, l'ange l'avait déjà entendue, elle resta cahée derrière son rocher, en sachant bien que ce serait inutile, mais elle était paralysé entre la peur du Brunhild et sa fascination pour ses enfants. Elle voulait partir et rester en même temps.
Le petit dragon lui était tout près de Tahaney, si près que si elle levait les yeux de son livre, elle ne pouvait pas le raté car sa couleur bleu et ses yeux d'or était un peu trop voyant dans la tente de Tahaney.

Tahaney lisait, encore et toujours, obsédée par l'épopée merveilleuse que narrait son livre. Elle ne pouvait tout simplement pas sortir de ce monde merveilleux avant d'avoir totalement dévoré le bouquin, elle le savait pertinement. Mais soudain, un bruit, presque imperceptible, la fit sursauter, et lorsqu'elle leva les yeux, elle vit de grands yeux dorés la fixer avec curiosité. L'elfe échappa un cri de mort, échappa son livre, qui fit rebondir l'épée double posée un peu plus loin. L'arme alla traferser le plafond avec un son de déchirure facilement reconnaissable. L'enfant de Brünhild échappa un juron sonore, puis se leva sans même réaliser qu'elle avait la tête dehors.

- Par Brünhild, j'ai eu une de ces peurs!

Tahaney s'immobilisa brusquement, puis, avec une expression des plus comiques, un mélange de curiosité et de fureur, elle se pencha sur la bête bleuté.

- Mais... on dirait un dragon! Tu... Qu'est-ce que tu es?

L'elfe voulut saisir la créature par le cou, mais se retint, consciente que ce n'était certes pas très agréable de se faire ainsi prendre. Elle observa le dragon avec une expression outragée. Elle sembla enfin comprendre dans quel était sa tente était. Elle jura de nouveau. À grandes enjambées, elle alla ramasser son épée double, puis récupéra son fourreau qu'elle attacha à son dos, glissant ensuite son arme dans l'espace prévu à cet effet. Elle retourna devant la bête, lui servant un regard outré.

- Je veux qu'on m'explique, s'il vous plaît.

Idril avait entendut le leger remout de l'eau s'intensifier depuis quelque temps, et aura de franche curiosité avait emplit l'atmosphere de maniere si puissante qu'elle, age dorée, put le sentir sans même ce concentrer!Elle tourna le tête pour voir une sirene a la fois timide et très curieuse, qu'elle ce souvint avoir rencontrer dans la bibliotheque, en même temps que son frère, quel souvenir beliqueux elle devait lui avoir laisser!

Bonjours jolie sirène...viens, je suis en train de faire à manger...tu ne mange peut-être pas de poisson...

Puis elle entendit un grand crit, et tourna la tête.Tahaney ce trouver surprise dans sa lecture (quelle chance de savior lire!) par un dragon bleuté, un dragon d'eau de toute évidence...et encore plus probable, le dragon de la sirène qui ce trouver là et qui se nomait (si elle s'en rappeler bien) Tsukiko...

Et recupere ton petit compagnon sans pattes, il effraie ma proteger et je n'aime pas sa...

Elle lui parlait doucement, gentillement...elle ne voulait pas effrayer cette fille...au contraire, elle pourrai aprendre elle-même beaucoups d'avoir de bon rapport avec une fille de giseler...

( Pas gros d'inspiration )

Les paroles d'Idril piquèrent l'orgueil de Tahaney. Elle cessa aussitôt de fixer la bête pour se tourner vers son mentor, les poings sur les hanches, comparable à une jolie fille que quelqu'un aurait offensé en la traitant de blondinette. Ses oreilles pointues frémirent d'indignation, lui donnant, sans qu'elle le sache, un air tout à fait charmant.

- Il ne me fait pas peur! Voyons donc! J'ai simplement été... surprise.

Pour prouver ses dires, l'elfe s'éloigna de sa tente pour venir à la rencontre de la sirène en affichant un sourire accueillant.

- Pardonnez ma réaction, je vous prie, fit-elle avec courtoisie. Votre charmant compagnon m'a surprise, et ma réaction a été excessive.

Elle se calmait peu à peu, retrouvant sa gentillesse habituelle.

L'enfant de Brünhild se plaça aux côtés d'Idril, curieuse de savoir quelle réaction elle aurait face à cette inconnue - en était-elle une?

La sirene quitta l'abri de son rocher en entendant la voix d'Idril. C'est tmidement qu'elle se montra à son regard en se rapprochant doucement du sable. Ses ecaille bleues outremer luisaient à la lumière de la lune prenant des reflets argentés.
Elle eu un sourire timide envers Idril.
-Hum...merci...mais je n'ai pas faim...
Elle restait sur la plage mais tout de même en contact avec l'eau. Pour devenr humaine elle devait juste quitter l'eau, d'une lumière lunaire ou solaire peut importait. Mais pour le moment elle avait plutot peur de quitter sa forme première.
Tahaney poussa un cri qui attira le regard curieux de Tsukiko, avant de voir la lame du epée traversé le haut de la tente. Elle eut un petit sourire, mais ne se moquait pas.
-Uizu, revient par la s'il te plait.
Le dragon serpent se mit à ramper sur le sol, ses petites pattes courant vers sa maitresse et amie. Il grimpa sur ses epaule en posant son regard d'or sur Idril. On aurait jurer qu'il riait.
-Je suis desolée qu'il vous ai surpris, je ne pense pas que c'était son intention de vous faire peur!
Puis elle attrappa son petit dragon qui s'enroula atour de son bras en prenant un regard surprit.
-Uizu, excuse toi auprès d'elle s'il te plait.
Le petite dragon se decolla de sa maitresse et s'envola vers Tahaney et finit par dire:
"Desolée de t'avoir fait peur!"
Puis il retourna avec Tsukiko.
La sirène elle était toute timde, et se demandais comment elle pouvait faire face à deux enfant de bruhild et toute deux guerrière qui plus est.

Et Tahaney n'allait pas être au bout de ses peurs. Après s'être volatilisé sans vraiment le vouloir du village de Kriemhild, Phillipin était apparu ici, sur cette plage ou la mer semblait de lait. L'on pu entendre encore une fois ce fameux bruit caractéristique, "pfioush", au moment ou il apparu, puis les trois femmes purent entendre à la suite un "plouf", caractéristique d'un mauvais atterrissage.

"Keuf keuf, qu'elle est ce.. keuf cette malédiction?"

Le jeune poète sortit de l'eau en toussant fortement, il avait bu la tasse et revenait sur la plage, trempé jusqu'aux os. Il traina ses chausses complètement remplit d'eau sur les grains de sables qui se collaient dessus. "flic, floc". Sa lyre n'avait pas été cassé mais les cordes étaient atteintes par l'eau, il essaya de jouer une note et la musique ne produit qu'un vague "tzoing". Phillipin était quelqu'un de très bruyant. Il secoua sa tête d'un air élégant puis s'aperçut qu'il n'était pas seul et écarquilla les yeux voyant tout ce monde différents en forme et en couleur.
D'abord, ses yeux furent attirés par tous les dragons qu'il y avait, bon sang tomber dans une eau aussi dangereuse et s'en sortir s'en s'être fait happer par la gueule immense et béante de ces créatures! Il en avait eu de la veine! Puis les pupilles curieuses du jeune homme s'arrêtèrent à la fois sur des ailes dorées, des oreilles pointues et des jambes en queue de poisson. C'était trop d'un seul coup, son cœur battit à tout rompre par une telle diversification dépassant son imagination.
"Que... vous... c'est... comment dire..."
Les mots, pourtant lui qui était habitué à conter les histoires, il n'en trouva pas, aucun qui puisse satisfaire son étonnement si soudain. Il s'assied sur le sol, laissant une flaque autour de lui, regardant d'un air songeur les trois femmes toutes aussi différentes. Phillipin savait déjà que chaque femme, comme les hommes étaient unique, mais de cette façon là! Il ne s'y attendait pas! Après les hommes animaux le coup de l'ange aux ailes d'or, de la sirène et apparemment d'une elfe l'avait cloué sur place. Puis il se releva, se grattant la gorge comme pour attirer l'attention et l'on sentait venir la question bête que tout jeune humain incrédule aurait posé à sa place, s'il était venu d'un autre monde.

"C'est un spectacle que vous répétez? Vous avez de jolies déguisements mais... Comment avez vous fait pour construire des dragons?"

Évidemment chez lui les dragons n'étaient que légende, et dans les légendes les dragons étaient féroces sans pitié, gardant leur trésor de façon possessive. Alors en voir trois, en plus si on lui disait qu'il était réels, cela allait boulversé notre cher d'ambroise pour la vie.

Idril allai adresser une phrase à la sirène, lorsqu'un plouf
caracteristique attira l'attention de tout ces sens.La main sur l'épée,
elle regarda sortir de l'eau un jeune humain tout crachotant, et ce
calma instentannement.A le voir, avec sa lyre et son air niait, c'était
un poète, qui n'avait pas encore aprit grand chose du monde.Idril eue
un vague sourire en le voyant étonner à ce point de les voir.

Pauvre humain destiné à un funebre destin, jeune
comme tu est, tu ne sais encore rien du monde et de toute les choses
qu'elle renferme!Tu te dit poète, mais les poètes connaissent le monde
qui les entourent, et chantent leurs louages.Le dragon bleu que tu
voit, la deriere, ce nomme Glaceur de coeur, et à plus de mille ans,
c'était le dragon de brunhild à ce qui parait.A ces côtes, le dragon
rouge, ce nomme Lakory, plus jeune, mais qui ne manque pas d'entrain,
et va vers une sagesse plus grande.Ma jeune amie, à mes côtes, est une
fille d'une determination étonnante, une elfe, qui me surprend depart
sa tenacité, et sa facilité de comprehension.Elle ce nomme Tahaney.Tu
peut voir ici une jolie sirène, qui ce presentera avec une plaisir
certain, ainsi que son dragon.Les deux pégases de feu, deriere moi, son
Aska et Coeur de Celerité.Je suis quand à moi une Ange dorée nommé
Idril Pallanén.

Devant son air béa, elle s'aprocha de lui, très
pres, laissant la chaleur suffocante qui émanait d'elle l'envelloper,
et ces cheveux carresser son visage.

J'ai presque un millénaire.Quelques 852 ans.Ma plus
grande qualité et de manier les armes blanches comme personnes.Et mon
plus grand défauts, et de m'en servire plus qu'il ne le faudrai...

Elle s'éloigna de nouveau, jeta un oeil à son repas et ajouta

Si tu souhaite manger avec nous, je t'invite sans
probleme, et pour peu que tu me décline ton identité, moi même,
Tahaney, nos dragons et chevaux, et même la sirène, si elle ocnsent à
ce joindre à nous, nous te montrerons des merveille qui, j'en suis
sure, exciteront ton âme de poète..Et tu pourra chanter tes découverte
partout dans le monde...

Phillipin n'avait pas tout compris, déjà comment pouvait on savoir qu'il était poète?
A ce qu'il savait un poète n'était pas un métier mais une vocation, il n'aimait pas cela, de plus elle lui disait qu'il n'était pas un vrai poète. toute ange soit elle, il fut vexé de ce manque de jugement de sa part, lui habitué à se donner en spectacle simplement pour satisfaire de gros et riches bourgeois, cependant il ne dit rien de plus, elle lui avait dit clairement qu'elle savait manier l'épée, et, il se rappela de sa cuisante défaite face à la femme en armure, il était assez intelligent et humble pour se savoir plus faible physiquement que cette ange.
tour à tour, au fur et à mesure qu'elle lui présentait ses compagnons d'aventure il les regarda, mais à vrai dire il ne les connaissait pas et c'est leurs physiques qui le laissèrent un peu embrumé.
Le fait de s'approcher si près de lui ne lui fit rien, le contact des cheveux d'une femme, il l'avait ressentit plus d'une fois contre sa joue et ça ne l'impressionnait plus depuis belle lurettes si jeune soit il.
Il reprit de sa constance, montrant que même un jugement sans l'avoir entendu parler ne l'impressionnait pas tant que cela, habitué à être critiqué par les spectateurs sur la qualité d'une démonstration de jonglerie par exemple.

"Eh bien ma foi, je crois que vous m'avez bien décrit.
Je suis un triste humain perdu dans un monde que je ne connais guère que dans des récits.
Le destin change dis t'on dame mais,
Je crois qu'il me reste encore quelques moments à vivre
Avant de me retrouver ivre,
Ivre de la mort qui me prendra en son sein à jamais.
Mais, je suis de moeurs vulgaires car je ne me suis pas présenté.
Je me nomme Phillipin d'ambroise, et, ne soyez pas étonnée,
Si mon nom vous conforte dans l'idée
Que j'ai l'air plus d'un poltron
Que d'un poète bon,
Je ne connais rien à la vie mais
Je la consomme comme il n'est pas permis,
Peut être avec un peu trop de fougue
Ce qui m'amène parfois, dans de bien tristes entrevues."

Il fit une courbette élégante mais comment déceler son message? Etait ce de l'ironie par rapport à ce qu'Idril avait dit?
Ou du respect ou alors faisait il démonstration de son talent du verbe?
Tout en était qu'il aimait à faire des rimes et ne s'en lassait guère jusque dans sa posture qui faisait penser ni à un noble ni à un guerrier, mais bien à un libre penseur perdu au milieu de nul part.
Sa peau se réchauffa lorsque l'ange passa si près de lui ce qui le sécha au passage. 852 années, dans les légendes de son monde on en disait autant sur la vie des anges, Phillipin appréciait cette confirmation et ne semblait plus si étonné que ça, semblant vivre un rêve éveillé.
La proposition il ne la refuserait pas, ce n'était pas la première fois qu'un groupe de guerriers lui demandait service pour les distraire, c'était de cette façon là qu'il gagnait sa croute et ce soir, on lui offrait le couvert contre un spectacle, Idril n'avait même pas eu besoin de prononcer le mot que Phillipin s'exécuta. Ses torches, bien que mouillée s'allumèrent grâce au briquet et il se mit à jongler. L'on pouvait faire tout le feu que l'on voulait rien ne valait l'habileté des mains de Phillipin lorsqu'il faisait tournoyer les objets en l'air, tournant virevoltant tel un guerrier se battant contre son ombre, il enchainait pirouettes et sauts périlleux pour amuser et distraire comme on lui avait appris à la cour.
Mais il ne savait pas qu'ici les distractions étaient faites de sang et de combat, en fait tout ce qu'il faisait seraient aux yeux de l'ange doré, ridicule et inutile comme elle l'avait jugé au départ, Phillipin allait avoir de drôles de surprises.

"Je ne saurais refuser une telle inviation à votre tablée,
Si bien soit elle dans un sable doré.
Mais je sais qu'un couvert
Est bien cher,
Pour compenser je vous offrirais de quoi vous amuser
Pendant que vous mangerez.
Vous me nourrissez de mots,
Moi de maux
Et j'en ferais comme chaque rencontre...
Un conte."

Il se donnait du mal, au fond de lui son autre moi soupirait et pensait que Phillipin était bien ridicule de vouloir faire connaissance avec les autres ainsi, il ne tarderait pas à reprendre le dessus si cela tournerait au vinaigre.

Idril fut presque offusquer de le voir manier le feu de telle maniere.

Tu est bien habile, mon jeune ami.Mais ici le feu
est connu, pour d'autre vertu.Je te le dit, je prefere, s'en est
presque vexant pour moi que tu t'en serve pour jongler avec..Vient
plutôt t'assoir, je n'est pas besoin de compenssation.Quand j'invite
quelqu'un a ma table, ce n'est pas pour qu'il m'offre une
compenssation.Vient donc écouter l'aprentissage d'un ange frapper par
les âges...

Elle donna à son dragon, et à Lakory, une chair
étrange, que Glaceur dévora tout de suite.Lakory plus suspicieux, la
renifla doucement, mais ne tarda pas à la manger.Et apres avoir nourrit
les cheveux, Idril donna à chacune des personne assise un poisson roti
et encore fumant, cuit par une feu aromatiser qu'elle avait elle même
invoquer.Et la véritable force du gout, (qu'Idril ne leurs révélerai
surement jamais) VEnait du sang qu'elle avait fait couler dessus.Elle
demande une nouvelle fois à la sirène si elle voulait manger.Puis
dégaina son épée.

Toi qui m'a l'air de savoir jouer les troubadour.Pourrai-tu jongler avec cette épée?

Bien sur, Idril savait que non.Non seulement
Executrice été très puissante, et cela ce sentait quand autre qu'elle
l'avait dans les mains, mais en plus, elle été bien trop lourde pour
lui...
Elle dit tout une serie de mots étrange, et la fameuse épée commenca à
chanter.Mais pas son habituelle chant à glacer le sang.Non, un chant
tout à fait avenant, come on en voyait, dans les cours des château.

Cette épée est doter d'une intelligence, d'une
âme.Lors de mes séjours à la cours, j'ai parfois entendut de genre de
musique...Et malgres ce qu'on pensse des gueriers, j'aime beaucoups sa!

Elle ce disais que Tahaney aussi, aimerai sa.Mais
Idril ne cesser de regarder vers la ciel, les constellatin qui
s'étendait aux dessus d'eux.

Il s'arrêta, Phillipin n'arrivait même pas à amuser dans ce monde, il semblait désespéré de ne pouvoir, simplement par quelques moments sans penser égayer le coeur des gens.
Tant pis, mais cette façon dont l'ange le traitait le mettait mal à l'aise, et, lorsqu'elle dégaina sa lourde épée, en lui demandant presque d'un air moqueur de jongler avec c'était peut être la phrase de trop qu'elle n'aurait pas du dire, au fond de lui bouillait son autre moi, pourquoi alors qu'il ne faisait rien de mal et qu'il essayait avec son peu de talent d'amuser la galerie on essayait toujours de le ridiculiser?

"Eh bien je me tarderais de savoir qu'elles sont ici les vertues d'un feu,
Qui pour moi sont simplement le fait de brûler beaucoup ou un peu,
Si je vous ai vexé j'en avais nulles intentions,
Mais garde à vous de faire attention,
Vos paroles semblent aussi tranchantes que la lame de votre épée,
Et je ne suis pas homme à me laisser embêter,
bien que ma force laisse à désirer,
Je peux très bien repartir vers ma destinée."

Un message de mise en garde subtil de la part de son autre moi, Phillipin même dans ses deux personnalités avait toujours eu cette âme là,
et il n'aimait pas cette façon qu'avait l'ange doré de le rabaisser, il suffirait encore d'une réflexion pour qu'il se lève et parte de son plein gré, même si ses compagnes l'impressionnait,
il savait sentir un danger et il n'avait rien fait de mal pour qu'on l'arrête dans ce qu'il appelait "la distraction".
L'épée l'avait intrigué, mais dans ses propres contes il en avait inventé des épées comme ça, et,
étrangement celle-ci aussi, ce chant, ces notes il les connaissait par coeur sans vraiment savoir pourquoi.
Comme pour répliquer à la façon dont l'avait traité Idril,
il attrapa sa lyre et joua le morceau que l'épée avait chanté quelques secondes plus tôt.
Aucune fausse notes, exactement pareil, et Phillipin fut prit d'un étrange pressentiment,
pourquoi une épée faisait le chant qu'il avait inventé dans son monde?

"On dirait que votre épée m'a entendu jouer une fois,
Ses airs ainsi que ses couleurs je les ai déjà décrits,
dans certains de mes écrits,
Et je puis vous confirmer que ce n'est pas la première fois,
Que je joue cet air là,
Car il m'a valu être connu,
Dans tout mon duché
Ainsi que toutes ses rues."

Il parlait de dûchés, chose qu'Idril ne connaissait pas,
il ne lui avait pas dit qu'il venait d'un autre monde, il n'en avait pas eu le réflexe tout du moins,
mais peut être que cette fois-ci elle ne le considèrerait pas seulement comme il l'avait si bien dit,
un poltron de seconde main qui ne sert à rien.
Il planta ses yeux bleus dans ceux de l'ange,
c'était le genre de chose qui laissait tout aussi pantois que la découverte d'une paire d'ailes doré,
de savoir qu'un simple humain savait jouer aussi bien que sa belle épée.

Idril vit de yeux bleu de poser dans les sien, aussi froid et tranchant
que le métal.Des yeux bleu.Elle eue un pincement au coeur, et détuorna
son regard gris d'acier.Mais elle avait un petit sourire aux lèvre.

Tu doit vraiment être un exelent musicien, pour
qu'Executrice est retenue ta musique.Sa veut dire que tu as frapper son
âme de sanguinaire, et sa, c'est très rare.

Bien que sa voix eue toujours des accens un peu
froid et dur, elle ne disait pas sa ironiquement.Au contraire, elle
pensser réellement ces paroles.

Je ne sais pas ce que tu veut dire par duché, mais
je comrpend parfaitement que ta musique et toucher leurs coeur.De plus,
je voit dans tes yeux que tu croit, que je pensse que tu ne vaux rien
de part ta faiblesse phisique, détompres-toi!Je sais très bien que
l'intellecte et encore plus la sencibilité (musique, ou autre) est une
valeur qui vaux tout à fait, voir peu surpasser la mienne.

Elle fut tenter de lui faire écouter le chant de
mort de son épée, afin qu'il entende un son que jamais il n'vait
entendut, mais prefera le prévenir avant, et au travers, prevenir
l'enssembler.Elle n'était pas sur que la sirène aprecit, sans compter
qu'Idirl savait que Tahaney n'aimait aps ce son.

Voudrai-t-tu que je te fasse écouter un son que,
j'en suis sure, tu n'as jamais entendut?Il n'est pas specialement
agréable, c'est sur, mais il est très special, et je pensse que ta
poéte curiosité, a envie d'entendre tout les sons possibles, fussent-il
horrible à entendre...non?

Masquer par cette demande, elle ce poser une
question.En effet, elle même n'avait jamais comprit d'ou venait le
chant si horrible qu'éméttait Executrice,ni dans quel but elle le
pousser.Peut-être le troubadour pourrai-t-il lui aporter des réponse?

Phillipin savait, son autre lui aussi,
que personne n'arrivait à le fixer pendant plus de cinq secondes, sans détourner le regard ou rougir ou essayer de le supporter,
il le savait et toujours il le faisait pour se rassurer;
Il fut surpris cependant car il aurait cru que l'ange doré aurait soutenu son regard, elle qui avait des yeux si froid, comme si l'on regardait son propre reflet lorsque l'on osait les admirer.
Des billes d'aciers, tout aussi froid et mélancolique que le chant de son épée,
mais encore une fois le poète s'abstint de tout commentaire,
il avait un esprit trop imaginatif sur ce qu'il voyait et interprétait toujours drôlement les choses.

"Ou peut être est elle qui a chanté la première fois,
Et que j'ai retenu son chant par coeur mais ma foi,
Cette chanson la première fois que je l'ai entendu,
C'était dans une taverne et j'avais un peu trop bu.
Mais je ne crois pas qu'elle et moi nous sommes déjà rencontré,
Car je viens d'un monde ou jamais vous n'avez mis les pieds."

Un sourire mystérieux,
il venait de dévoiler le pourquoi de son étrangeté, non parce qu'il était sirène ou encore ange doré,
mais parce qu'il était littéralement perdu dans un monde qu'il ne connaissait pas,
à faire comme si il était présent depuis le début.
La flamme au fond de lui brûlait de plus en plus lorsqu'il regardait l'arme ou l'âme de l'épée d'Idril.
Une étrange sensation, comme s'il la connaissait depuis toujours ou comme si cette flamme au fond de lui voulait aller à la rencontre de l'âme,
juste par curiosité.

"Eh bien dame, chez moi l'on nomme duché,
Toute une politique basée sur les taxes,
L'on paie encore et toujours depuis que l'on ai né,
dirigé par un seul et unique roi et ses axes,
Axes qui sont évidemment ses plus grands seigneurs,
Aussi riches que nous pauvre, pauvre laboureurs."

Le poète venu d'un autre monde s'assied sur le sable doux,
écoutant les paroles qu'il considérait sages de l'ange doré,
humbles même, s'il en croyait son âge elle devait savoir tout un tas de choses qu'il lui plairait d'entendre,
des aventures peut être ou encore des combats du sang des histoires tristes,
qu'il pourrait remettre par le sang des poètes, l'encre.
Elle lui plaisait beaucoup à entendre,
elle aussi s'appliquait à lui répondre de façon claire et limpide, et son autre moi pour une fois n'intervenais pas sur la discutions.

"Ce serait un plaisir de l'écouter chanter,
Peut être même connais je ce chant qui semble troubler,
Une musique n'est jamais horrible,
C'est le message qu'elle fait passer qu'il l'est,
C'est pour cela qu'il est si subtil,
De faire passer la guerre dans une mélodie."

Il tendait l'oreille, oreille a demi pointue qui en avait entendu et entendu malgré son jeune âge des sons de lyre de harpe de flutes et d'instruments indéfinissables, pourtant la fameuse Idril semblait hésiter à lui faire entendre,
entendre le Requiem,
musique d'enfance que tous dans son monde chantait lorsqu'un défunt venait à se faire enterrer.

Elle n'avait pas même pu s'adresser cinq seconde à Tahaney qui semblait moins froide qu'Idril qu'un grand frisson identiques à une dehcarge electrique parcourus son corps la faisant acarquiller les yeux. Dans l'eau était tombé le representant d'un autre peuple que celui de Giseler, et à ça la sirenè était très sensible! Elle tourna la tête pour voir surgir de l'eau un demi-elfe accompagné d'une lyré pour seul bagage.
Lorsqu'il posa les yeux sur elle, elle se sentit toute drole, pas habitué à être ainsi devisagée. Elle se replia un peu plus sur elle même, tandis qu'elle se trainait un peu plus loin de l'eau. A present qu'elle était seche, sa queue de poisson recouverte d'écailles bleu, devinrent de longue et fines jambes blanches.
-Enchanté de vous connaitre, moi je me nomme Tsukiko Umisawa, et mon dragon et ami se nomme Uizu. Umi, est la bas, c'est un petit dauphin, il ne peut malheuresement pas se joindre à nous.
Elle se redressa maladroitement sur ses jambe pour rejoindre l'ange doré et l'elfe, ainsi que le demi-elfe. Elle le regarda faire son petit numero avec un sourire aux levres. Elle aimait bien ce genre de personnage qui se donnait en spectacle, et qui tentait d'amuser la population, seulement Idril, elle ne semblait pas ouverte à ce genre de distraction, trop, sans doute, trop loin deja sur le chemin de la guerre et du combat.
Elle ecouta sans perdre un mot de ce qu'ils se disait même si elle n'y comprenait pas grand chose, mais il était evident, qu'il y avait de la tension dans l'air. Uizu, fidèle à lui même glissa des épaules de Tsukiko et alla voir le nouveau venu de plus près, en grimpant sur ses jambes.

Alors que la conversation entre lui et Idril était plutôt de l'ordre d'une argumentation, lorsqu'il répondit à la sirène cela avait plutôt un ton frais et curieux. Il faut dire qu'elle s'était mise à ramper avec sa queue puis cette dernière disparaissant, laissant apparaitre des jambes ou l'on aurait dit de la soie. Phillipin n'était pas insensible, dans son monde l'acte de montrer son mollet était considéré comme de l'exhibition, alors voir des belles jambes! Il ne s'attarda pas trop dessus, sachant très qu'une femme, sirène ou pas, n'était pas demandeuse de ce genre de provocation, il préféra laisser balader ses yeux sur le visage de cette dernière tout en continuant de répondre à Idril, après s'être assuré qu'elle avait détourné les yeux de son regard. Il n'avait pas aperçut le dragon, curieux de voir qui était le nouveau venu tombé du ciel, car c'était ce qu'il s'était passé, il commença à grimper sur la jambe du demi elfe. Phillipin se figea, non pas qu'il n'était pas courageux, mais déjà de voir un dragon le mettait mal à l'aise, en plus s'il lui grimpait dessus! Il resta figé, la mâchoire complètement tétanisée, il attendit jusqu'à ce que la bestiole le regarde en face, et c'était bien la première fois qu'il eu affaire à quelqu'un qui soutienne son regard. Ils restèrent un moment à se regarder comme ça, Phillipin ne s'était pas encore rendu compte de ses réels pouvoirs de Kriemhild, mais au fond de lui, son cœur criait qu'il savait parler aux animaux, qu'ils soient crapauds ou dragon. La compagnon de Tsukiko, semblant satisfait de son entrevu retourna voir la sirène lui faire un rapport détaillé de l'étranger. Le poète frêle s'éclaircit alors la gorge pour répondre à la sirène.

"Eh bien ma foi... Même si votre ami m'a apeuré,
Je dois dire qu'il a été agréable à regarder,
Mais une question me vient à l'esprit,
Par quel moyen vous y êtes pris?
Pour vous transformer ainsi,
Passant de la déesse des mers,
A celle des terres?
Dans les légendes de mon pays,
L'on raconte beaucoup de choses sur les sirènes,
Mais ce sont des légendes assez mauvaises,
L'on dit de vous que vous chantez,
Afin d'attirer quelques marins distraits,
Et par la suite de les manger.
Mais je vois bien que ce n'est pas le cas,
a moins que votre corps soit contraire à votre esprit,
Tout en étant certain que vous pourriez en un tour de main,
Me tuer en toute impunité."

Phillipin avait abandonné l'idée de continuer un spectacle et même en ayant rayé ceci, il ne pu s'empêcher de sortir trois balles de son sac et de jongler machinalement avec, on aurait alors dit qu'il avait cinq mains, toutes aussi agiles l'une que l'autre, exécutant des passes en arrière puis il les rattrapa une à une, redoublant d'un sourire fin.

"Je suis certains qu'à vous trois,
Vous parviendrez à me faire des poèmes jusqu'à la fin de ma vie,
Je dois vous avouer que c'est la première fois,
Que je rencontre des êtres qui me fascine."

Une fois son inspection fini, et comme satisfait de ce qu'il y avait trouver il se laisser glissé comme un serpent sur le sable avant de ramper à vive allure vers la sirène et de grimper sur elle comme il l'avait fait avec Phillipin avant d'aller de se loger sur les épaules de son amie. Un sourire amusé naquit sur le visage de Tsukiko avant de disparaitre en entendant la voix du demi-elfe qui s'adressait à elle.
-Je ne sais trop comment vous expliquer messire. Mais c'est une particularité de mon peuple, notre nature curieuse envers les hommes de la Terre nous à permis de pouvoir devenir nous même humain lorsque la Lune ou le Soleil seche notre corps. Nous ne pouvons pas le rester plus de trois jours malheuresement, sinon nous mourrons.
Elle souri de nouveau en entendant la suite. Namariel avait pensé cela d'elle aussi.
-J'ai deja entendu ce genre de légende. Il est vrai que notre chant à le pouvoir de seduire les marins, mais nous ne tuons pas. Comme l'eau est un delement diffcile à cerner, nos les enfants de cet element sommes vu commes des monstre usant de leurs charmes pour attirer dans un piège sans retour les hommes, mais tout cela est faux.
Elle caressa la tête de son petit dragon. Celui-ci repondit en emettant un grondement que l'on aurait pu qualifier de ronronnement, tout en posant ses yeux d'or à nouveau sur Phillipin.
-Si je voulais vous tuer, je l'aurais fait lor'sque que vous etiez dans l'eau, sur terre, c'est plutôt moi qui suis en danger.
Un sourire d'une grande douceur comme celui de Tsukiko ne pouvais as cacher un monstre de legende reputé pour ses meutres. Non Tsukiko était une enfant qui grandissait encore et qui avait encore beaucoup à apprendre mais elle devait aussi apprendre aux autres ce qu'était son peuple pour que cette légende assassine disparaissent des livres.

Phillipin réfléchissait à toute allure,
comment dans son monde pouvait on dire des légendes aussi rétrogrades?
Il n'eut pas de mal à trouver la réponse. Chez lui,
si une femme montrait ses jambes on la considérait comme le diable en personne, pas étonnant si les sirènes montraient leur mollets ou plus encore qu'on disent de telles choses.
Pour autant Phillipin fixait ce dragon, il n'en avait jamais vu de tels, i
l l'aurait vu comme un tout autre monstre,
mais il fit vite le rapport,
c'était sûrement un dragon des mers.

"Malheureusement, à votre place je ne dirais pas cela,
Il doit être mille fois plus agréable de rester en mer que sur terre,
Au moins, si vous le souhaitez, vous ne subissez aucune guerre,
Ce que mon monde s'évertue à faire depuis des mois déjà.
Mais votre histoire me plait sincèrement,
J'en écrirais de nouvelles légendes j'en fais le serment,
Afin que votre nom devienne aussi agréable,
Que votre voix que votre corps mais surtout que votre âme.
A vous voir je sent bien qu'une partie des légendes disent vrai
Je puis vous dire que vous n'auriez pas de mal pour attirer les marins,
Il vous suffirait simplement de tendre la main."

Charmeur sans être méchant, il disait simplement de jolis compliments pour la sirène,
qu'aurait pu t'on dire de méchant lorsque l'on voyait cette créature?
rien,
même si on lui avait dit milles histoires farfelues,
en voir une pour de vraie lui redonnait un nouveau goût,
celui de l'aventure. La flamme encore une fois en lui s'éclata,
comme si ce nouveau monde allait lui laisser de nouvelles perspectives.
Continuant de jongler, cette fois-ci avec trois galets qui étaient près de lui,
il parlait,
comme s'il devait occuper ses mains, trop habitué à divertir,
il n'aimait pas les ambiances trop sérieuses,
il y avait son autre lui qui était sérieux,
il n'avait pas besoin de tant de personnes.
Il rattrapa un des galets habilement entre ses dents,
lui donnant un air bête mais amusant à la fois,
puis il imita le chient avant de le laisser élégamment tomber par terre.

"Ha mais dame Tsukiko, je dirais que même sur terre vous auriez plus de force que moi,
Je ne passe mon temps qu'à jouer de la musique,
Et même si j'ai vécu très peu je suis gras,
Il n'y a que mes cabrioles qui rendent le tout magiques,
L'on se demande alors comment un poltron peu être ainsi,
Peut être est ce une question de mental aussi."

Depuis tout petit il avait voulu être le fou du roi,
sans grande force physique, simplement agile et endurant sur certains points,
il ne savait rien manier comme arme,
sinon les cordes de sa lyre pour calmer les esprits,
d'ailleurs, avant même que le chant de l'épée se mette à onduler,
il prit son instrument en main et entama de nouveau un air,
donnant à ses notes le rythme de la mer.

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