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| Phillipin d'Ambroise | |
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Phillipin d'Ambroise Enfant de la Louve
Nombre de messages : 16 Messages RP : 05 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: Phillipin d'Ambroise Jeu 2 Oct - 22:36 | |
| histoire: première partie
« Il était une épopée formidable seigneurs ! Une quête formidable qui pourrait vous mener à être encore plus riches que vous ne l’êtes déjà ! » Une petite foule s’amassait autour de l’étrange personnage. Le son de la lyre envoûtait les personnes environnantes et incitait à écouter le conte. Il faut dire que les notes semblaient plus que justes et laissaient une certaine joie dans le cœur des gens.
« Il y avait là pas moins de cent ans, un jeune chevalier qui se nommait Prince Phillipin d’Ambroise, avait été promis en mariage. Mariage d’une belle princesse disait on dans tout le royaume et la dote absolument somptueuse ! » Le personnage s’arrêta et entama un nouveau morceau de lyre, exécutant quelques pas de danse folklorique. L’homme portait un masque où se mélangeaient les couleurs chaudes de l’été, avec un nez crochu, amusant ou faisant peur aux plus petites progénitures.
« Mais le pauvre homme s’était engagé dans une impasse, son plus grand rival avait eu ouïr de cette dote et voulu s’approprier la bien aimé de notre beau chevalier. Une guerre éclata alors au sein des deux royaumes entraînant sang et brûlant les toits de chaumes. La belle princesse, dans ce moment de détresse, cacha dans un endroit plus que secret son trésor qu’elle fit garder, par des monstres légendaires, n’ayant pas peur de ne pas plaire aux intrus qui auraient voulu un si beau dû ! L’on dit encore, que tout cette or poussière, au fin fond de la terre et que seule une bonne âme pourra retrouver le trésor ! » L’homme déguisé finit son récit poétique en exécutant une pirouette arrière, laissant sous le charme les belles demoiselles, amusant les enfants et les mères et mettant le doute aux hommes qui s’étaient approchés pour écouter. Il pu entendre des « si ton histoire était vraie, pourquoi tu n’es pas allé le chercher toi-même le trésor ? » et autres râleries habituelle mais notre homme ne s’en occupait guère. Il tendit un chapeau pittoresque afin d’amasser quelques pièces de bronze qu’on lui jetait par bonne conscience ou par pitié.
« Tu es qu’un imbécile, regarde les, ils te prennent pour un fou et te jette les pièces comme si tu n’étais qu’un vulgaire clochard ! Casse moi cette lyre elle me fait mal aux oreilles ! » L’artiste pliai alors bagage, qui n’étaient pas très consistants, après avoir ignoré la voix et amassé tout ce qu’il avait pu.
« Ha aujourd’hui c’était une bonne ville ! 38 pièces de bronzes ! J’en ai une bonne centaine maintenant, je vais pouvoir aller dans une auberge pour me reposer. » Le jeune homme enleva son masque et l’on pu voir quelques rougeurs sur ses joues encore saines, la cause étant les cabrioles et la chaleur qu’il faisait lorsqu’il se présentait en spectacle. Ce jeune musicien qui ne s’appelait autre que Phillipin d’Ambroise, portait des yeux bleus et des cheveux bruns avec des oreilles légèrement pointues. Il s’était taillé un petit bouc sur le menton afin de plaire aux dames. La chemise sur son dos était ample au niveau des bras et légèrement plongeante dévoilant un petit peu son torse. Le pantalon lui était simple et ses chausses de cuir. Une bourse en bandouillère et un sac ou il transportait déguisements et nécessaire à sa survie. Il se dirigea vers la première auberge, lyre accrochée dans le dos. Il était à Joily, ville assez commerçante aux pavés bien soignés et ou le duché était riche, c'est-à-dire ceux qui géraient la ville. Il tourna sur une ruelle ou une bagarre avait éclaté, Phillipin n’était pas du genre à partager ce genre de violence, lui ayant toujours préféré la guerre des mots qui se dérouleraient par des lancées de vers cinglants et de pamphlets ou encore comme il le disait si bien : « On aurait des tournures glacées, d’autres aussi chaudes et douces que la caresse d’une plume ! »
Enfin, l’on pouvait voir en lui comme un couard au combat, sa lyre lui prétextait cette excuse, un poète ne se bat pas !!
« Flanque leur une raclée qu’on en finisse, pille l’or qu’ils ont sur eux ça leur apprendra à être saoul comme des cochons ! » Phillipin laissa encore cette voix seule et entra dans l’auberge accueillante. On lui trouva une table au milieu de la pièce, ou une jolie serveuse lui servit un ragoût fumant. Son estomac criait famine, le plat tombait à pic et ne se laissa pas prier pour tout dévorer comme un adolescent en pleine croissance.
« Demande lui son prénom, elle est jolie, tu pourrais bien l’emmener dans ta chambre pour la nuit. » Les yeux bleus perçant s’égarèrent alors sur la jeune femme. Elle était vraiment jolie, courtoise en plus. Il aurait été impoli de l’aborder en plein milieu de son travail. Il secoua la tête alors que cette réflexion lui fit saigner du nez.
« Allez !! Ne joue pas ton rabat-joie ! Demain tu ne seras plus là !! C’est ça l’aventure non ? » Il finit par céder à cette petite voix agaçante dans sa tête et alla voir le joli brin de fleur alors qu’il allait payer son écuelle. Il n’adopta pas la prétention des bourgeois ni la manière bourrue des guerriers aux combats. Non Phillipin fit apparaître une rose dans sa main qu’il se permit de poser sur l’oreille de la serveuse, écartant au passage quelques mèches blondes, brûlant d’impatience au fond de lui, comme un feu qui se consume avant d’être satisfait.
« Je trouve que cette fleur vous va à merveille. Elle éclaircit vos yeux et vous redonne de la joie. Je suis certain que si vous passez les pétales sur vos lèvres aussi bien dessinées, celles-ci deviendraient encore plus pulpeuses qu’un quartier d’orange. » Non jamais en temps normal il aurait dit ça, mais cette voix le guidait à ce moment, une voix qu’il ne voulait pas mais qui le forçait à dire ça. Tant pis, il assumerait les conséquences de cette phrase qui sortait de sa bouche sans le vouloir. La jeune femme rougit puis dit à Phillipin qu’elle ne pouvait se permettre de faire connaissance avec des inconnus pendant ses heures de travail et lui donna rendez vous dans sa propre chambre après la montée de la lune dans le ciel étoilé. Cette flamme au fond de Phillipin, celle qui le forçait à parler ainsi semblait se raviver encore plus et il attendit patiemment devant cette porte, ayant au préalable pris un bain au lait d’amande douce. Enfin l’heure où il pourrait entrer dans ce sanctuaire habituellement impénétrable. Le parfum légèrement âcre de cette demoiselle ne faisait que l’envoûter une fois de plus.
« Vous avez sû parler à mon cœur sans pour autant dire un seul mot… » Il ne pu, la suite ce n’était plus lui qui la décida mais cet autre lui et cette femme, dont le regard laissait place à un désir naissant. Phillipin ne se souvint de cette nuit que le goût salé de la peau et de leur sueur se mélengant, il su qu’elle avait été épanouit, lui n’avait fait que subir cet acte mais il ne s’en plaignait pas, il y avait du bon d’avoir deux Phillipin parfois. Le lendemain matin de bonne heure, il laissa la douce plante dans son lit, ou elle se réveillerait par la chaleur des rayons du soleil sur cette peau glacée par la sueur d’une nuit.. Avant de partir il la regarda en silence, déposant sur les draps froissés une nouvelle rose. Il le savait… qu’elle s’appelait Rose…
Il reprit sa route, tel un vulgaire vagabond à la recherche d’une nouvelle histoire à conter. Il s’éloigna doucement de la ville encore endormit, ou seuls le cliquetis des armures des gardes témoignaient de la vie, et peut être aussi d’un chien errant coursant un chat. Il s’enfonça au nord, coupant par une forêt. Cet endroit était sans doute un élément d’inspiration gigantesque. Il suffisait de lever la tête afin de voir simplement les feuilles s’animer sous le vent, provoquant des bruissements ressemblant plus à des chuchotements. Phillipin était certain que cette forêt vivait. Il tourna la tête et pu voir un petit écureuil se tortiller autour d’un arbre. Cela lui donna alors l’envie de jouer de la lyre en son honneur. « Me casse pas les oreilles ! Sinon tu regretteras ta prochaine rencontre avec une demoiselle ! Je la prendrais et… »
… et mieux valait ne pas entendre la suite pour le pauvre Phillipin qui se subissait lui-même. Cela le mit de nouveau dans une profonde réflexion, il n’avait jamais dit à personne ce problème de personnalité, il savait que c’était bien lui qui parlait dans les deux cas, qu’il n’était pas possédé. Comment aurait il pu le prouver ? Il ne le pouvait pas mais ce n’était pas une possession. Son autre lui rêvait d’aventure, de combat de cape et d’épée, de monstres et de trophées et voulait agir. Tandis que Phillipin lui savait qu’il ne pouvait se permettre de telles choses, il n’était pas du tout fort physiquement bien qu’assez endurant. Il s’assit sur un tronc d’arbre en plein milieu de forêt, il sentait l’air, une odeur d’humidité chatouillait ses narines, il sortit une de ses plume et un parchemin ou il se mit à rédiger une nouvelle aventure qu’il raconterait durant ses spectacles, aventure qui ne lui arriverait jamais mais dont il rêvait. « Arrête de te morfondre sur toi-même et arrête d’écrire bon sang ! Va t’acheter un glaive et un pavois et part donc affronter !! »
Dernière édition par Phillipin d'Ambroise le Jeu 2 Oct - 23:04, édité 2 fois | |
| | | Phillipin d'Ambroise Enfant de la Louve
Nombre de messages : 16 Messages RP : 05 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Jeu 2 Oct - 22:36 | |
| histoire : deuxième partie:
Cette voix n’avait pas tord dans un sens, mais non Phillipin était décidément trop peureux pour agir, il continua donc d’écrire tandis qu’un escadron passait non loin du poète. Des hommes en armures étincelantes, les naseaux des chevaux soufflaient comme des machines, aux yeux de Phillipin il aurait cru même y voir s’échapper de la fumée, quelle mécanique ! Un des cavaliers s’approcha de notre jeune homme brun :
« Ou est la citée de Mordra gamin ? Nous devons nous rendre au plus vite au port… Qu’est ce qui te prend à rêvasser comme ça ! renseigne nous !!! » Le pauvre Phillipin était sortit d’une drôle de façon de ses rêveries et c’est son autre lui qui répondit à sa place, laissant place à une voix assurée.
« Premièrement je ne suis pas un gamin, je ne sais pas qui tu es pour me parler sur ce ton mais l’on ne t’as pas appris les manières des nobles pour parler ainsi. Deuxièmement je ne suis pas un messager et la moindre des choses est de demander s’il vous plaît. Ca ne va pas vous tuer si ? Et si ça te plaît pas viens te battre on verra si tu porteras toujours autant de mépris aux voyageurs. » Phillipin se mit la main devant sa bouche aussitôt la phrase prononcée, comme s’il n’avait jamais voulu la dire. La flamme au fond de lui se dissipa le laissant seul affronter cet homme qui n’avait pas bien pris ses propos. Il descendit de son cheval tandis que Phillipin bredouillait des excuses.
« J’vous assure… j’voulais pas… j’peux vous dire ou c’est… -Non tu as raison nous allons régler cela en duel. As-tu une arme au moins gamin ? » La voix qu’il entendait semblait alors moins grave qu’il lui avait parut. Il compris soudain qu’il devrait se battre contre une femme, et même si elle était en armure elle restait tout de même un objet dont Phillipin ne voulait pas de mal.
« Non… j’en ai pas… c’est pas grave vous savez… pas besoin de duel. » Il bafouillait à présent ses mots et les murmurant presque alors qu’on lui jeta une épée longue qu’il eu du mal à porter. Le poète, arme en main, était dans une drôle de posture relevant plus du burlesque que de la chevalerie. D’ailleurs les cavaliers riaient à cœur déployés tandis que son adversaire avançait doucement vers lui arme en main tendu prête à frapper. Au premier coup elle désarma Phillipin, le deuxième, grâce au plat de son épée, elle lui faucha les jambes et il tomba en arrière, le postérieur frappant le sol assez fort. C’est que notre gentil avait encore moins l’habitude de tomber, il se retrouva assit au milieu des feuilles mortes et des mousses, l’air bêta, il se releva frottant les manches de sa chemise sous les rires encore plus fort de la troupe de soldats. La jeune femme guerrière rengaina son arme et demandé d’un ton poli avec un brin d’ironie :
« Alors Seigneur gamin ! Auriez vous l’amabilité de nous indiquer la route pour Mordra ? -Continuez au Nord, à l’embranchement ce sera à gauche et vous continuerez votre route à travers la grande prairie… c’est là-bas que je me rendais… » Il baissa la tête, leur prouvant qu’il n’était qu’un gamin à ce moment là, pourtant il avait déjà atteint la vingtaine d’années. Les soldats ne le saluèrent pas et reprirent leur routes au galop après avoir reprit leur arme et être remonté à cheval.
« Tu as entendu ? C’est la chance de ta vie ! Ils partent à l’aventure ! Il faut que tu les rejoignes ! Toi tu connais le raccourci ! » Phillipin, guidé par cette voix rassembla au plus vite ses affaires et se décida d’arriver avant la troupe.En fait ce n’était pas difficile à faire, il leur avait indiqué le chemin le plus long pour l’avoir traité comme un enfant, lui n’aurait qu’à tourner tout de suite à gauche, il y serait avant la fin de la journée, eux, même à cheval n’arriveraient que le lendemain. Il ria de ce joli tour joué, digne des fauteurs de troubles et commença par entamer sa route. Il ne vit pas grande chose, des lapin et des lièvres en général, il aperçut tout de même une biche au loin alors qu’il traversait un champs de coquelicots. Et ces prédictions furent bonnes, il arriva à la tombée de la nuit et aucune trace des cavaliers qu’il avait rencontrés plus tôt. Mordra était encore plus grande que Joily et bien plus riche. Des remparts aux couleurs de sable entouraient la ville et des gardes étaient postés dans des tours afin d’assurer les aller et venus des citoyens. Phillipin rentra sans problème, ce n’était pas la première fois qu’il allait dans cette ville et se dirigea directement « place des artistes ». En effet un très grand mécène vivait ici et autorisait les représentations jusqu’à tard le soir. Aujourd’hui, Phillipin savait qu’il n’allait pas chanter comme d’habitude. Il sortir de son sacs trois torches et un briquet d’amadou. La place était ronde et remplit de gradins, au centre, là ou se tenait le spectacle, l’on devait attendre près d’une entrée en coulisse pour pouvoir présenter son numéro. Un homme d’assez grosse corpulence se tenait devant, décidant duquel passerait pour divertir le public. Il n’y avait pas des masses d’artistes, et le choix était vite fait finalement. Des lampes éclairaient la ville et le monde grouillait de voir tous les troubadours. Qaund vint le tour de Phillipin on lui demanda :
« Que sais tu faire ? -Chanter, danser, jongler Sir. » On le regarda d’un air suspect puis on le fit diriger dans les loges de fortunes qui n’étaient que de simples panneaux de bois afin de permettre de se changer et d’être à l’abri de la vue des spectateurs. Phillipin enfila un déguisement coloré et ajusta son masque sur son visage. « Tu es ridicule… -toi aussi alors tais-toi. » On annonça son nom au bout de dix minutes après qu’un couple ce soit fait huer par leurs numéros. Phillipin, avec ses trois torches se dirigea alors au centre. D’un coup d’œil il balaya les gradins et aperçut alors les soldats croisés en forêt. Il s’agissait à présent de leur montrer de quoi il était capable.
« Eh Damoiselles et damoiseaux ! Pucelles et puceaux ! Quoi Que dis je ? Ma tête me jouerais des tours alors que je suis ici dans une ville ou la noblesse et la bienséance domine ? Savez vous pourquoi cela ne tourne pas rond ? » Il posa ses torches au sol, son briquet ainsi qu’une bouteille au drôle de contenu.
[color:dba9=violet« Eh bien voyez vous aujourd’hui j’aurais du vous faire un numéro d’acrobatie, mais ma foi la chance est mal tombée puisque je suis moi-même tombé sur ce coussin si moelleux. » Désignant son postérieur et laissant échapper un sourire aux gens qui se demandait qui était cet homme masqué, il attrapa sa lyre et se mit à jouer un morceau joyeux, se mimant en train de courir puis de tomber sur les fesses. Puis il s’arrêta, ne parlant plus et attrapa les morceaux de bois qu’il fit jongler entre ses doigts. Il reprit alors la parole comme si cette jonglerie n’était qu’une manière normale de s’adresser à un public.
[color:dba9=violet« Oui alors j’ai donc décidé de vous présenter un numéro de jonglerie, mais pas n’importe lequel, un qui vous éblouisse et qui vous fasse rêver pendant plusieurs nuits ! » De son pied il souleva le briquet d’amadou qu’il fit jongler avec les torches, tout en jonglant il alluma un par un les morceaux de bois puis laissa retomber le briquet à ses pieds. Il se mit alors à bouger ses mains de plus en plus vite, tournant parfois sur lui-même, exécutant quelques petites passes avec ses pieds, rattrapant une torche au bout de sa chausse puis le relançant comme si c’était facile. Il finit par reprendre les trois torches en mains et en éteignit une. Il prit la petite bouteille du début et but quelques gorgées, enfin c’est ce que crut le public, ne sachant pas ce que faisait Phillipin. Il se mit à cracher alors les flammes de l’enfer, le poète n’avait jamais parlé qu’il était cracheur de feu à ses heures perdues. Croyant qu’il aurait eu un bel effet auprès du public il continua mais ce fut tout le cas contraire. On commença à s’affoler, on parlait alors de dragon.
[color:dba9=violet« Mais non… je…
[color=red]-UN SORCIER !!!! QU ON LE BRULE !!!! » Alors il se passa quelque chose d’inouïe pour Phillipin, il ferma les yeux, sentant s’approcher les armes contre son corps, mais il n’y eu aucun choc. Le jeune homme se retrouva au milieu d’un village, peuplé d’animaux plus extravagant que les autres, certains changeant de formes pour redevenir humain, et le pauvre demi elfe était perdu dans ce nouveau monde, ou il semblait régner le chaos.
Dernière édition par Phillipin d'Ambroise le Jeu 2 Oct - 23:12, édité 1 fois | |
| | | Phillipin d'Ambroise Enfant de la Louve
Nombre de messages : 16 Messages RP : 05 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Jeu 2 Oct - 22:49 | |
| Nom: D'Ambroise Prénom: Phillipin: âge: 25 ans religion: Kriemhild arme: sa lyre objets: instruments de jonglerieedit: description physique Premier jour du 19 ième printemps Pour ceux qui liront ce parchemin, le jour ou ma mort sera venu, je leur lègue une partie de moi. Je suis né d'un père inconnu et ma mère, une femme bien mystérieuse. Je porte la couleur de ses yeux, bleus, la couleur de sa chevelure, bruns et souple que je peux coiffer à ma guise. Pendant mon enfance, on me traitait de gringalet car je ne savais pas me battre, ou plutôt si, mais je n'arrivais jamais à le prouver. Je n'ai guère changé, mon physique est toujours fin mais athlétique, ce qui me permet de marcher à une allure soutenue pendant des heures, tel guépard. Il parait aussi que mon bouc plait aux femmes, surtout quand je m'amuse à le recoiffer en les fixant de mes yeux couleurs du ciel, mais la plupart du temps je préfère cacher mon visage sous divers masque afin de faire mon métier correctement, celui de conteur. Mais il y a encore une chose que je dois avouer sur ce physique, mes oreilles, je n'ai jamais compris pourquoi elles étaient si pointues. Je sais bien que les humains ont des formes assez extravagante mais celle-ci me permet de mieux entendre, peut être est ce qu'une impression mais je suppose que mon père devait en avoir des comme ça, peut être vient il d'un autre monde...
extrait du livre III, des poèmes d'Ambroise. description mentaleLe fou J'ai toujours voulu dans ma société devenir le fou du roi. J'aurais aimé arborer des couleurs chatoyante, exercer des cabrioles et raconter les taquineries à la cour sans me faire rosser de coups, car on me le pardonnerait, vu que j'aurais été le Fou du roi. J'aurais aimé être le fou du roi, car j'ai en moi un fou qui m'habite, comment vous expliquer concrètement, j'ai comme un double esprit que je ne peux parfois contrôler. Bien sûr il n'y a rien de méchant, je refuserais que l'on fasse du mal à qui que ce soit mais parfois je suis sujet à des actes de violence ou de pulsion que je ne sais pas d'ou ellles viennent. Et puis il y a autre chose qui me chagrine, je sent comme en oi une aura nouvelle, comme une force intérieur qui me crie de la libérer; cet autre moi qui la nuit me transforme en guépard ou même en crocodile, c'est très étrange, j'espère un jour pouvoir trouver le secret de mon moi...
Extrait du livre I des problèmes de l'esprit, sujet: D'Ambroise.heum désolé de la langoeur, tout ne rentrait pas dans un seul message. Est ce que je dois rajouter une description physique et mentale en plus? Parce qu'il me semble l'avoir fait dans l'histoire.
Dernière édition par Phillipin d'Ambroise le Ven 3 Oct - 23:02, édité 1 fois | |
| | | Idril Pallanén Feu Follet
Nombre de messages : 1130 Age : 32 Messages RP : 320 Localisation : la ou il fait le plus chaud, là ou c'est le plus effrayant!^^ Loisirs : chercher à perdre mon coeur de pierre, enseigner à tahaney, retrouver yoru, et aprendre avec nama^^ Date d'inscription : 04/01/2007
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Ven 3 Oct - 20:19 | |
| dsl mais malheuresement oui (pour ceux qui n'auront pas le courage de lire toute ton gistoire...^^) mais sinon c'est génial!bravo pst impec tu me post sa et tu pe rppppppppp ^^ | |
| | | Phillipin d'Ambroise Enfant de la Louve
Nombre de messages : 16 Messages RP : 05 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Ven 3 Oct - 23:05 | |
| J'ai édité, tu penses que c'est bon là Idril ? J'ai assez de mal à m'en tenir qu'aux descriptions la plupart du temps... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Sam 4 Oct - 11:44 | |
| Digne d'un grand romancier cet présentation mon ami ^^. Bienvenue sur le forum et dans mon peuple, mon frère! Et en plus t'es demie lfe! Genial! J'espère que tu vas te plaire ici ^^! Je t'ajoute dans ton groupe et je te met ton rang ^^. Tu pourra dès lors commencer le RP ^^
Bon jeu parmis nous messire D'Ambroise! |
| | | Phillipin d'Ambroise Enfant de la Louve
Nombre de messages : 16 Messages RP : 05 Date d'inscription : 02/10/2008
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Sam 4 Oct - 12:00 | |
| Merci bien d'avoir validé ma présentation, je m'en vais découvrir vos contrées de ce pas. | |
| | | Yoru Shiroi Maître des Peurs
Nombre de messages : 790 Age : 34 Messages RP : 245 Localisation : Quelque part entre l'Ombre et la Lumière Loisirs : Se ballader en forêt, voler sur le dos de Yami / Bouffer des innocent, torturer Yoru Date d'inscription : 18/03/2007
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Sam 4 Oct - 12:12 | |
| De rien ^^
amuse toi bien ici (je radote comme un vieux XD) | |
| | | Tsukiko Umizawa Petite Vague
Nombre de messages : 68 Age : 34 Messages RP : 64 Localisation : Près de l'eau Loisirs : Decouvrir le monde Date d'inscription : 25/09/2008
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Sam 4 Oct - 15:28 | |
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| | | Tahaney DeFlammia Brasier Créateur
Nombre de messages : 387 Messages RP : 135 Localisation : Ben là! Je ne lis pas l'avenir, moi! J'en ai aucune idée! Loisirs : ME FAIRE MALTRAITER PAR MON MENTOR IDRIL!!! MOUAHAHA!!!!!! Date d'inscription : 12/11/2007
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise Sam 4 Oct - 17:30 | |
| Bienvenue, Phillipin d'Ambroise! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Phillipin d'Ambroise | |
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| | | | Phillipin d'Ambroise | |
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