Namariel Jeune Plante
Nombre de messages : 561 Messages RP : 196 Localisation : dans les nuages Loisirs : parler, instruire, fuir, nettoyer mon monocle. Date d'inscription : 13/07/2007
| Sujet: receuillement dangereux Dim 11 Nov - 18:20 | |
| Namariel pris par son élan habituel d'être supérieur n'avait pas salué la sirène et était partit sans se retourner. Son étrange ami , qui avait pris l'apparence d'un petit homme blanc, si petit qu'il tenait sur l'épauole de l'ange doré, le sermona de cette impolitesse, et, pour le punir, lui chanta d'une une voix suraigue dans ses oreilles.
"Arrête tu vas me rendre sourd!! "
Les deux continuait leur chamailleries, et à aucun moment ne s'était préoccupé de la route qu'ils avaient prise. Mais ce que vit l'ami de Namariel l'arrêta net dans son vol, si bien qu'il faillit tomber dans le vide. Une pluie d'or se tenait devant eux deux, celle que Namariel croyait qu'un simple mythe, celle qu'il avait raconté à tant de gens sans y croire. Son ami lui expliqua ce qu'il y avait devant eux. L'ange doré eu un haut le corps, ne semblant pas y croire, il se rapprocha guidé par le murmure. De ses longs doigts enfantins il toucha alors cette cascade dorée. Une onde sonore se propagea, une note parfaite faisant monter des larmes que ne pouvait pas avoir Namariel.
L'onde reprenait, plus vive, s'accelerant, et forma une voix:
"Venez, je vous attend plus bas, je vous dirais tout."
Les deux compères s'executèrent, Namariel filait vers le sol avec une vitesse impressionante, si bien que son ami rentra dans son oreille pour ne pas s'envoler. Ils virent alors un endroit dépassant leur imagination. Un cimetierre immense, avec des bâtiments de toutes sortes, abritant les défunts. Ils étaient de toutes tailles, parfois aussi grand qu'une montagne, parfois aussi petit qu'une pomme. La cascade se terminait devant eux dans un bassin ou l'eau était dorée et limpide. La voix reprenait alors, parfaite, s'insinuant dans Namariel comme s'il la connaissait depuis toujours.
"Je suis heureuse de te rencontrer enfin Namariel, mais je n'ai pas beaucoup de temps pour t'expliquer, pour te dire à quoi sert ton bâton... Tu n'es encore qu'un enfant pour la plupart des autres anges dorés, maisil ne savent pas que tu as la clé, la clé qui ouvre notre ville ancestrale, ils ne savent pas que tu en ai le gardien seul, que personne d'autres ne puisse prendre ta place. Pour trouver la ville tu dois utiliser la clé, voir au plus profond du soleil, ensuite tu devra..."
Mais, la voix s'éteignit sans raison apparente, seul le silence regnait dans ce somptueux cimetierre. Namariel et son ami était resté sur leur fin, la voix bourdonnant encores dans leur oreilles. Mais bientôt il se rendirent compte que le bourdonement se transformait en un tremblement, qui s'intensifait de plus en plus.
Trois géants, aussi haut que deux montagne et large comme une avançait vers eux faisant trembler le sol. Leur pieds était constitué de roches, et lorsque qu'il tombait sur une tombe ou édifice, ceux ci ne se démolissaient pas, comme un enchantement. L'un deux poussa un énorme grognement menaçant, essayant de balayer Namariel de sa main large comme une ville. Celui n'eu pas le reflexe de s'envoler, même s'il ne voyait pas il sentait ce qu'il se passait, et la peur le submergea, elle le submergeait tellement, que ses ailes se rétractèrent, son visage ainsi que ses vêtements s'imprimèrent dans sa peau, ses mains sans qu'il puisse les commander, allèrent toucher le rebord du bassin et s'allongèrent tout le long. Son corps s'étira ainsi tout autour, prenant une couleur verte. Ses cheveux grandirent, se déplacèrent le long et laissait apparaitre des bourgeons et des feuilles.
Alors les gardiens géants, lorsqu'ils furent près de la ou l'ont avaiet donné l'alerte des intrus, ne virent que du lierre autour du bassin et une brûme doré au dessus. Il repartirent alors continuant de faire trembler le sol.
Lorsque les deux furent bien sûr qu'ils soient assez loin, ils reprirent leur apparences normales et s'envolèrent aussi haut que possible jusqu'à ce qu'il ne virent plus ce cimetierre. | |
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